A l’ombre du Boenlesgrab


Le Boenlesgrab, c’est l’alternative pour échapper à la canicule dans la plaine.

Partir tôt et grimper à l’ombre de la forêt.

34°C en bas et seulement 24° en haut, à l’arrivée.

En plus, on est assuré de pouvoir se désaltérer à l’auberge, dès lors que ce n’est pas le jour de fermeture.

Les mouches pendant l’ascension font un festival autour du grimpeur lent que je suis.

Dans la descente, il faut garder les mains sur les freins car la chaussée est en mauvais état.

Le retour en plaine nous replonge dans la fournaise.

La chasse à l’eau est parfois problèmatique.

A Pulversheim, l’eau du cimetière n’est pas potable; à Wittenheim, il faut une clé pour tourner le robinet.

On attend donc Illzach où une bonne vieille pompe est à disposition.

L’eau des vivants et des morts

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