Les potins du lundi


des équipements de sécurité souvent absents

Cata…strophe!

C’est dans le quotidien 20 minutes de vendredi 10 novembre que l’on apprend que la police a mené un contrôle technique des vélos à Strasbourg.

Au programme, la liste de tous les équipements de sécurité des vélos qui circulent en ville.

C’est facile à arrêter et à contrôler un cycliste sur une piste.

D’autant que la plupart roulent sur leur vélo sans trop se préoccuper de la présence des équipements indispensables et de leur état.

C’est au registre « cata » que la liste est la plus longue.

  • Catadioptre avant blanc
  • Catadioptre arrière rouge
  • Catadioptre pédale gauche
  • Catadioptre pédale droite
  • Cataroue avant
  • Cataroue arrière

…sans parler du reste: la sonnette, les freins, l’éclairage, les pneus.

Chaque équipement absent est passible de 11 euros.

Mais alors, direz-vous, les routiers que l’on croise sur la route, ils sont tous en infraction…

Bien sûr!

Et personne ne nous dit rien.

C’est la preuve que la mesure de contrôle est purement citadine mais qu’elle pourrait devenir routière un jour.

Les adeptes du vélo « jemenfoutisme » et ceux du « vélo hyper light » ont du souci à se faire si par malheur la maréchaussée s’intéresse à eux.

Convaincre un cyclo-sportif qu’il lui faut sonnette, catadioptres et lumières sur son vélo ne va pas être une mince affaire…tant qu’il n’y sera pas contraint.

voir l’article de 20 minutes édition de Strasbourg

Ma chronique macroniste

Malgré moi, Macron a réussi à devenir mon président. Le président des riches.

Je l’ignorais, maintenant je le sais, je suis riche.

Plus riche que riche? je ne sais pas, mais ce que je sais, c’est que je ne suis pas encore assez riche pour m’exonérer de mes devoirs comme d’autres le font dans les Paradise Papers.

Je suis donc un riche couillon qu’on peut encore taxer sans vergogne pour renflouer les caisses sans fond de l’Etat.

Car figurez-vous que par un tour de passe-passe bercynéen, j’ai été versé à mon insu dans les 20% de ceux qui continueront à contribuer à la fameuse taxe d’habitation.

Je suis fier, je devrais être fier, et mon consentement à cet impôt doit être total depuis que j’ai appris que seulement deux sur dix d’entre-nous ont l’honneur suprême et le privilège de figurer parmi les bons cotisants au bien-être de la République.

Mais ce n’est pas tout, l’informatique est diabolique.

En même temps qu’elle permet aux heureux patrons de calculer d’un clic le coût d’un licenciement, elle permet aussi de savoir combien les bienfaiteurs de la taxe d’habitation vont devoir, en plus, casquer au titre de la CSG nouvelle réservée aux chers retraités.

Dans mon cas ce sera 750 euros.

A vos calculettes, c’est ici.

Une réflexion sur « Les potins du lundi »

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