Aspach-le-Haut (croquis)


Travailler la peinture « au rabais », c’est comme ça qu’on peut considérer le croquis. Si on rate, tant pis! On use du papier fin qui ne soutient pas beaucoup l’eau. Mais l’attraction sera la mise en page, le contraste des valeurs. Bref, on voit si l’image vaut le coup d’œil. Ce soir j’en resterai au croquis qui me donne juste un souvenir de mon passage à Aspach un jour de neige.

Pourtant des carnets de croquis, il en existe de merveilleux. S’assoir au bord de la mer ou dans un recoin de village et dessiner ce qu’on aime. Juste un témoignage.

3 réflexions sur « Aspach-le-Haut (croquis) »

    1. Ça se discute. Le trait d’un fil a aussi sa légitimité dans l’harmonie du paysage. Moi j’en ai besoin. Fils et poteaux sont les témoins d’une époque. Je me souviens des nappes de fils téléphoniques sur isolateurs, je les trouvais jolis.Quand on dessine des fuyantes de perspectives les fils accompagnent le mouvement de l’œil vers la profondeur de l’image

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