Ce matin, le temple Saint-Etienne était vêtu de gris dans sa
carapace de ferraille.
Les « Euronanas » à la « Porte Jeune » continuaient leurs rondes
incessantes.
Les délégations de travailleurs se rassemblaient sur « la place
de la Réunion » tandis qu’une banderolle affirmait que nous n’étions
pas responsables de la crise.
Les grands bassins impassibles à ce tohu-bohu n’avaient plus
pour visiteur qu’un modeste cyclo-pêcheur.
