J’ai regardé les intempéries arriver sur Ventusky. Puis j’ai tenté de profiter d’une étroite fenêtre de tir pour sortir à vélo.
Arrivé sur le chemin du Rangen, j’ai du me résoudre à tourner court. La pluie s’est mise à redoubler.
J’ai regardé les intempéries arriver sur Ventusky. Puis j’ai tenté de profiter d’une étroite fenêtre de tir pour sortir à vélo.
Arrivé sur le chemin du Rangen, j’ai du me résoudre à tourner court. La pluie s’est mise à redoubler.
#beatyesterday #garmin
Je n’avais guère le choix de mon heure se sortie car la pluie sera durable. Je suis content malgré tout car j’ai fait un score de 6’37 » au kilomètre. Un des meilleurs.
Certes il y a des flaques en ville pas facile à éviter, mais c’est acceptable. Je rentre trempé par la transpiration sous mon imperméable.
Les sports de plein air sont sinistrés.
Les terrains de foot dans l’eau, c’est fâcheux. Le vélo sous la pluie pas mieux. Les marcheurs sont partagés.
Cet épisode de pluie commence à lasser les plus endurcis. J’ai une parade, exploiter les créneaux d’accalmie qui durent à peine plus de 30 minutes.
Hier j’ai fait le tour du lac. Quatre kilomètres. Et j’ai croisé deux chiens et leurs accompagnateurs, un coureur et c’est tout. Pourtant il y avait quinze voitures garées au parking. C’est en arrivant à la petite digue que j’ai croisé un groupe de randonneurs inconditionnels de la balade à pied comme moi aujourd’hui.
Ceux qui se frottent les mains sont les marchands de sports en salle. On se montre derrière la vitre.
Jour de pluie, les plans tombent à l’eau. Pas de chance pour les Randos de la Commanderie.
Je sais que c’est déprimant pour les membres qui s’investissent de voir leurs préparatifs réduits à néant par manque de participants. Mais ils auront pu compter sur les inconditionnels du vélo tous temps, je l’espère.
Le pire étant de devoir retourner le soir dans les chemins retirer les rubalises et les panonceaux.
A neuf heures, j’ai cru à une éclaircie.
J’ai grimpé jusqu’à Rammersmatt où la pluie s’est invitée à nouveau. Après avoir revêtu l’imper, j’ai poussé jusqu’à Bourbach, puis Sentheim.
Trois août. Après les pluies de juillet, voici venu août.
Une légère amélioration du mauvais temps: pluie et froid avec 14 degrés ce matin.
Du coup on n’a plus qu’à se réfugier au bistrot. Avec son passe-montagne.
J’ai roulé quelques fois sous la pluie pendant plusieurs heures. Pour y trouver un confort minimum, mieux vaut être équipé en conséquence. Le haut du corps est facile à protéger avec des éléments imperméables. Mais le bas!…
Des pantalons et des chaussures étanches qui résistent à la pression de l’eau projetée, ce n’est pas facile à trouver. Je me souviens dans les années 70 (1900, pas 1800!) avoir traversé la Belgique d’est en ouest sous la pluie avec des équipements très peu techniques. Pédaler avec les pieds dans des éponges n’est pas agréable du tout. Mais le pire, ce sont les voitures qui vous aspergent tout le corps.
Aujourd’hui, je n’ai pas prolongé outre-mesure ma rando sous la pluie qui était accompagnée de rafales de vent; je suis monté à Rammersmatt à VTT par la route. Mais il a suffi de prendre ensuite le sentier botanique en direction de Bourbach, puis les chemins qui mènent au lac pour me couvrir de boue.
A la longue, on s’épuise car le corps se refroidit vite une fois que l’eau finit par traverser toutes les couches.
Rouler sous la pluie à vélo
Beaucoup vont penser que c’est une forme de masochisme. Pourtant j’aime rouler sous la pluie. C’est un retour aux sources de la nature. De l’eau il en faut pour la vie. Pas trop, mais quand même. Rouler sous la pluie, certains promeneurs s’y adonnent, en plus de ceux qui y sont obligés comme les facteurs. Les marcheurs revêtent un long imperméable et portent un grand parapluie leur permettant d’être totalement à l’abri des intempéries.
Les travailleurs en extérieur ne sont pas exemptés de travail sauf sur un chantier en raison de l’impossibilité d’employer certains produits ou matériaux dont l’utilisation implique des conditions climatiques particulières. C’est la loi.
Moi je n’obéis qu’à une seule loi, la mienne. Ma loi me dit de rouler par tous temps autant que je peux. Il faut des préalables: un état d’esprit et des équipements.
La pause
La pause va nous permettre de faire le point: l’état des forces et des équipements. Vérifier l’étanchéité des sacoches, améliorer l’habillement défaillant, sortir les cartes, manger et boire. Et ne pas trop tarder car l’engourdissement menace. L’abribus trop confortable sur lequel on pourra faire un somme est un piège. Dans certains villages, l’abribus est un petit chalet isolé du froid avec parfois de la lecture.
L’état d’esprit? c’est d’abord de la motivation et aussi une attirance pour ce qu’on a coutume d’appeler « le mauvais temps » dans nos sociétés modernes et aseptisées.
Rouler des heures sous la pluie, je l’ai déjà vécu. A la longue, les vêtements montreront leurs points de faiblesse, des coutures où l’eau pénètre, …le point clé sera l’isolement des pieds. Pas simple! Les chaussettes étanches peuvent être la solution.
A la longue, au contact de l’eau le corps se refroidit, penser aussi à des vêtements isolants du froid.
La conduite du vélo est aussi plus délicate: anticiper les manœuvres et ne pas déraper. Penser à être vu: sous la pluie, la visibilité est réduite. J’utilise systématiquement sous la pluie un imperméable jaune et j’allume ma lampe rouge à flash.
Je n’ai aucune réserve sur cette veste de pluie. Encenser Décathlon pour ses vêtements techniques ne me dérange aucunement dès lors que la concurrence peine à faire mieux dans les « petits prix ».
Avec cette veste coupe-pluie RC500 visible EN1150 vendue 50 euros, on en a pour son argent et pour sa sécurité.
La norme EN 1150 régit les vêtements de visualisation à usage non professionnel. Elle est tout à fait adaptée aux cyclistes sur route…et aussi à vététistes en période de chasse!…à moins que les sangliers optent aussi pour cette veste…
C’est surtout par l’arrière qu’on peut se faire percuter. Par l’avant, un véhicule qui double sans nous avoir vu au loin peut aussi nous faucher…
Visible jour et nuit, ces vêtements sont le Top pour la rentrée dès lors que les jours régressent et que le temps peut devenir brumeux ou pluvieux. En revanche, Décathlon continue de commercialiser des vêtements cyclistes dangereux comme ce coupe Pluie Ultralight Racer Noir ci-dessous…
Un étude vient modérer une idée reçue: rouler sous la pluie est un frein au développement du vélo en ville.
Dans cette étude, Alexandre Trajan de la Direction inter-régionale Nord-Est, Météo-France, Strasbourg entend démontrer qu’à vélo, il est possible de simuler des trajets matin et soir, et de compter le nombre de fois où un cycliste se fait mouiller en allant ou en rentrant de son travail et constater que rouler sous la pluie est moins fréquent qu’on l’imagine
Selon lui, les cyclistes quotidiens affirment qu’il n’est pas si fréquent de se faire mouiller lors d’un déplacement à vélo.
Je suis aussi de cet avis pour mes déplacements quotidiens en ville, le nombre de fois où je roule sous la pluie se compte sur les doigts de la main (y compris ceux qui ont de l’arthrose!)
Dire qu’on ne prend pas son vélo par crainte de la pluie serait donc une fausse excuse.
De façon scientifique, l’étude permet de savoir combien de fois il pleut réellement lors d’un trajet domicile-travail selon le temps passé sur le vélo matin et soir.
Ainsi à Strasbourg, pour un trajet de 5km, la pluie ne surviendra que 16 fois dans l’année
C’était une pluie fine.
Elle n’interdit pas le vélo de loisir.
J’ai pris le VTT car avec lui si le temps est trop menaçant, on est vite rentré à la maison.
J’ai tout de même tenté au km4 un itinéraire hasardeux: le chemin n’existe plus.
Je voulais grimper à Kurrenburg non loin de la vue Zuber, hélas après avoir porté le vélo sur mon dos un petit quart d’heure, j’ai préféré renoncer en faisant demi-tour.
Une fois sur la route de Rammersmatt, je me suis offert le sentier de Mulhberg qui est un délice et qui conduit à Roderen.
Au réservoir j’ai longé le Rueslochbaechle.
A Rammersmatt, j’ai pris le sentier botanique là où la pluie s’est mise à traverser le blouson.
Abrité sous un gros chêne pédonculé j’ai enfilé mon imperméable.
C’est sensationnel, toute la vapeur d’eau enfermée vous procure une chaleur douce.
Mieux qu’Engie!
A Michelbach, j’ai pris Aspach-le-Haut puis le sentier qui conduit aux étangs de Bodenmatten à Roderen.
Ce parcours est sympa.
Y compris sous la pluie.
Je vous le recommande.
Le cycliste vit au rythme des saisons.
A la ville comme à la campagne, il s’expose aux aléas climatiques, ceux de la pluie, du vent et du froid.
Pour la chaleur, on a déjà donné cet été avec cette canicule que les pouvoirs publics hésitaient à nommer.
Trop de mauvais souvenirs sans doute!
Pour la pluie en revanche, aucun problème, le cycliste ne connait plus l’imperméable et les marchands font grise mine.
Comme ceux qui vendent des parapluies.
La sécheresse est telle que tous nos petits cours d’eau le long des collines sous-vosgiennes sont à sec.
Triste décor!
Nos voisins du Territoire sont en restriction sévère et les professionnels doivent fermer leurs commerces de lavage-auto, sinon 1500 euros d’amende, m’a t-on dit.
La Haute-Thur est aussi souffreteuse, certains réservoirs sont ravitaillés par camions.
L’Alsace (la plaine) se sent forte avec sa nappe phréatique gigantesque comme si elle était assise sur un coffre-fort.
Un coffre-fort?
Oui, car l’eau douce de la planète fait défaut partout jusqu’à ces grands lacs que la cupidité a asséché.
Il nous reste donc à attendre le froid…s’il arrive un jour.
Ressortir les cuissards longs et les gants « à doigts ».
On a encore du temps devant nous.
Après 48 heures passées en Forêt Noire, je rapporte dans ma besace un paquet de pixels d’images fixées sur le silicium.
Ainsi passe le temps.
Il y a vingt ans, on aurait dit des kilomètres d’images fixées sur la pellicule.
Je vous raconterai ce la plus tard.
On commencera par le Kuckucksuhr
Le coucou (Kuckucksuhr) made in Germany de Titisee, vous y croyez vous?
Moi, j’ai du mal…sauf si je voyais de visu les travailleurs s’atteler à monter ces bijoux romantiques au fond des vallées de la Schwarzwald.
Même si le coucou de Forêt Noire semble plutôt trouver son berceau ou son nid à Triberg, des importateurs asiatiques ont du trouver matière à s’intéresser à l’heure allemande.
Les petites étiquettes blanches font partie du décor, juste pour nous rappeler que le coucou de la Forêt Noire peut atteindre jusqu’à deux mille euros avec un mécanisme qui, je le présume, n’a rien de Suisse.
Ce qui est amusant, c’est de voir la clientèle asiatique qui se presse dans cette boutique.
Je savais que le temps n’incitait pas à la balade.
Je suis donc parti avec l’espoir secret que le temps allait tourner au vinaigre à la pluie.
Gagné!
Au bout de quinze kilomètres, la pluie s’invite.
Ô pas une grosse pluie, juste quelques gouttes éparses.
Pour mesurer le taux de pluie, je compte les gouttes sur le compteur qui fait 16 cm2.
Toutes les dix secondes.
Ça occupe.
Puis j’efface lestement du revers de la main.
Quand je n’arrive plus à compter les gouttes, demi-tour!
Je grimpe à Rammersmatt en quatrième vitesse, puis sous le gros tilleul j’enfile l’imper.
J’ai accompli ma plus courte balade de l’année sur route: 25 kilomètres.
C’est pas bézef comme aurait dit Khalîl Ibn Ahmad Al Farâhîdî.
C’est plus fort que moi, dès qu’il pleut je suis content.
C’est comme une vengeance méritée sur le beau temps.
Sans aucun doute, je suis du nord et même du nord-est.
Cette saloperie de canicule va enfin nous quitter pour de bon, je l’espère.
Bon, ce matin j’ai pris la route avec 14°C.
14°C, c’est le nom de code de mon copain, celui avec qui je m’entends bien.
Dès le Soultzbach franchi, la flotte.
Excellent occasion de ressortir l’imper.
Il était tout fripé l’imper dans sa boite à outils et content de revoir le jour.
Quand les godasses ont commencé à faire glou-glou, j’ai pris la direction du retour, la goutte au nez.
Y aurait-il plusieurs conceptions du voyage à vélo?
Oui, heureusement.
D’ailleurs le terme de voyage évoque un déplacement dans l’espace plus ou moins contraint et dans un but personnel affiché ou non qui laisse toute latitude à chacun de l’entrevoir à sa façon.
Mon dernier voyage à vélo a donc été celui d’un pari: rejoindre mes Amis du Randonneur lors de leur séjour annuel à Eppe Sauvage dans l’Avesnois (Nord).
Il y a donc ceux qui combinent leur déplacement avec plusieurs modes, le train, la voiture, le vélo, la marche,…
J’ai choisi le tout vélo.
Bien sûr, il y a des zones à traverser sans grand intérêt touristique.
Alors dans ce cas là, je pédale et c’est tout.
La variété de la campagne mérite pourtant de s’arrêter autour d’insignifiants repères, ceux qui témoignent d’une histoire locale, d’une légende oubliée, ou même d’une rencontre insolite.
Je le sais, je ne partage pas toujours sur le plan méthodologique l’approche de tous mes amis qui conçoivent le voyage à sacoches d’une autre façon, celle de voyages au long cours en autonomie totale, à l’écart du temps et des contingences.
Je sais de quelle pratique cycliste je viens.
Donc je m’adapte…et j’adapte ma machine.
Je n’imagine pas (pas encore) transporter ma maison avec moi, tente et matériel de camping…doubler le poids de mon bagage.
J’ai résumé l’équipement de mon vélo ici
Beaucoup trouveront incongru d’équiper une machine légère de la sorte. Le vélo pèse 12,400 kg avec son armement…et les sacoches Topeak 7,100 kg soit 19,500 kg sans le pédaleur.
Je sais que ce type de vélo tel qu’il est chargé échappe à tous les canons du cyclo-voyageur
Oui, je sais tout cela.
Alors, je le fais quand même pour seulement 10 jours.
Vous l’aurez remarqué, il faut avoir des développements adaptés.
J’ai donc pour franchir les plus fortes déclivités un 33×32.
J’ai le souvenir d’une déviation impromptue lors d’une foire aux puces en Belgique où l’on m’a expédié dans un raidart de 9% mal pavés.
Évidemment la dernière ressource est de monter à pied.
La navigation est un terme de marine qui me convient bien.
A vélo, on passe successivement de la navigation à l’estime à la navigation satellitaire.
J’utilise un GPS.
Pas de cartes papier.
Ma route est pré-tracée, je peux m’en écarter et y revenir quand bon me semble.
J’ai un fond de plan précis aussi précis que celui d’une carte d’état-major avec les courbes de niveau, ainsi que toutes les rues des agglomérations.
Une précaution cependant, avoir un GPS avec batteries amovibles et un jeu d’avance ainsi que le chargeur avec soi.
L’usage d’un téléphone portable est devenu banal.
Je l’utilise en voyage comme mon ordinateur pour toutes sortes d’applications
Inutile de dire qu’avant la fin de la journée, votre Iphone n’a plus de jus.
Donc j’ai deux Powerbank de secours dont l’un solaire
Bien se comporter sur la route est fondamental.
Il faut anticiper tous ses changements de direction de façon à être compris des autres usagers.
Personnellement, j’utilise des trajectoires rectilignes et je roule à droite sans zigzaguer.
Je ne prends pas systématiquement les infrastructures cyclables bricolées qui vont apporter plus de problèmes que la route.
Sur les grands routes, je prends la bande de sécurité* quand elle existe et je ne gène donc pas les voitures et les camions. Vérifier quand même que votre route n’est pas interdite aux vélos.
nota: une grand route ne peut être interdite que s’il existe un itinéraire parallèle de remplacement.
*Il s’agit de l’article 13 du décret qui modifie l’article R. 431-9 du code de la route.
Son 5e alinéa prévoit désormais que « Les conducteurs de cycles peuvent circuler sur les accotements équipés d’un revêtement routier ».
Je veux toujours être visible de loin dans le spectre routier souvent encombré de mobiles, de panneaux, de mobiliers urbains, de zones d’ombre.
Alors je profite de mon bagage pour l’équiper en jaune haute visibilité et je porte aussi une veste visible.
Quand je m’arrête, je me gare!
Je fais comme une voiture.
Je ne suis plus cycliste, je redeviens piéton, j’ai donc le droit de me garer sur le trottoir et de traverser la chaussée sur un passage protégé
En ville, je me protège derrière un obstacle, voiture ou mobilier urbain.
Quand il pleut, le vélo devient moins agréable et on est plus vulnérable.
Si la pluie est annoncée pour durer, il faut s’équiper en conséquence.
Être très visible sur la route.
Avoir des vêtements anti-pluie de qualité.
Sinon le lendemain, vous devrez rouler avec des vêtements mouillés.
Mon pantalon acheté pour l’occasion à Décathlon est un anti-pluie urbain.
Pas cher mais efficace.
Le problème c’est qu’il fait tchou-tchou-tchou comme un train à vapeur quand vous pédalez.
Il faudra s’habituer.
(dist./dén./moy.)
4 ARLON-AUBRIVES 125/1243/18.8
5 AUBRIVES-VALJOLY 73/918/16.3
6 VALJOLY-VOUZIERS 150/1648/17.7
7 VOUZIERS-SAINT DIZIER 111/939/19.1
8 SAINT DIZIER-EPINAL 158/1258/19.7
Les traces GPS
https://www.openrunner.com/r/8665783
https://www.openrunner.com/r/8665788
https://www.openrunner.com/r/8665795
https://www.openrunner.com/r/8665799
https://www.openrunner.com/r/8665804
https://www.openrunner.com/r/8665808
https://www.openrunner.com/r/8665813
https://www.openrunner.com/r/8665824
https://www.openrunner.com/r/8665829
Le voyage à vélo n’est pas gratuit, pas complètement.
Si l’on échappe aux péages, aux dépenses de carburant et de parking, on retrouve des billets de train éventuellement, et des dépenses d’hébergement.
S’agissant de l’hébergement, je n’ai que mon expérience de l’hôtel et du restaurant.
Mon prix est proche de ce que les Offices de Tourisme indiquent: 70 euros par jour.
A savoir qu’une chambre coûte autour de 50 euros, un sandwich entre trois et cinq euros et un repas du soir entre 15 et 20 euros boisson comprise.
Le petit-déjeuner qu’il vaut mieux prendre copieux coûte entre 5 et 9 euros…en plus vous pouvez prélever un fruit pour midi.
(En Belgique, majorer ces prix de 20%: l’Appart’city d’Arlon facture 77 euros la nuit avec petit-déjeuner, mais tolère que vous montiez votre vélo dans la chambre en le montant dans l’ascenseur!)
(Dans la pointe de Givet, à l’Amérivière d’Aubrives, le patron vous laisse les clés de l’hôtel, vous prépare une assiette de pâtes à la carbonara à réchauffer au micro-ondes, une bière fraîche Jupiter, une crème chocolat et vous sert le petit déjeuner avec du pain frais pour 18 euros. C’est le boulanger du village!)
Se faire héberger chez un parent ou un ami est donc aussi précieux moyennant un petit cadeau de remerciement.
J’ai pris la route en tentant d’éviter les grains.
Celui qui est venu s’abattre sur Heimsbrunn m’a obligé à me réfugier sous un arrêt de bus. Continuer à lire … « Gros grain »
Les papyrus sont des surnoms que l’on donne aux vieillards de Russie
Vivons-nous dans le même monde?
Mes jeunes semblables me surprennent.
Qu’est ce qu’on fait?
Oui, ce matin, une fois encore, c’est le déluge en Alsace.
Si je dis « qu’est-ce qu’on fait? », c’est pour aborder le triste désœuvrement de ceux qui sont des inconditionnels du vélo.
Je parle du vélo sportif et du vélo de randonnée. Continuer à lire … « Songes pluvieux d’été »
Vite! un coin de ciel bleu.
Les vagues d’averses se limitent aux cimes vosgiennes. Continuer à lire … « Un coin de ciel bleu »
J’ai donc enfin trouvé une motivation pour enfourcher mon VTT, délaissé depuis ma chute du 16 mai.
Profitant d’un accalmie pluvieuse, je pars autour de chez moi vers des itinéraires improbables dont j’ai le secret.
J’imagine que nombre de festivités locales sont altérées par le mauvais temps. Continuer à lire … « Petite allure »
Ce matin, je me suis levé à cinq heures.
En projet, un parcours à vélo dans le Jura suisse…et le Col de la Vue des Alpes du coté de la Chaux-de-Fonds.
Peine perdue: il pleut à Mulhouse et la météo suisse annonce aussi de la pluie sur le Jura. Continuer à lire … « Un bataillon de zouaves »
Il pleut comme vache qui pisse, dit-on chez les Lorrains. Continuer à lire … « L’Alsace sous la pluie »
La météo avait prévu une dégradation mais je suis parti quand même.
Là-haut, les Vosges sont dans la grisaille et les skieurs du Markstein ne sont pas nombreux (voir l’image). Continuer à lire … « Une bonne rincée »
Que d’eau! que d’eau!
Nous, au moins, on en est sûrs: il tombe de l’eau en Alsace.
Mac Mahon l’aurait aussi dit en constatant les crues de la Garonne en 1875.
Il tombe tellement d’eau que ce 1er mai si propre aux réjouissances cyclistes se trouve complètement gâché.
Alors restons chez nous à compulser nos ouvrages et à briquer nos bécanes en attendant des jours meilleurs…
Ce matin, il pleut à verse.
Journée noire en perspective d’après la météo.
Alors on tue le temps comme on peut.
L’attente risque d’être insupportable. Continuer à lire … « L’attente… »
Les retraités font passer le temps.
Passer le temps est le bon mot.
Des paquets de nimbus balaient la plaine d’Alsace. Continuer à lire … « Ça va durer longtemps? »
C’est devenu mon joker.
Quand le temps est maussade ou incertain, je choisis le VTT.
Ce que d’autres nomment un temps de chien, moi je le nomme un temps de VTT.
On a le droit de rentrer tout crotté si le temps se détériore et on n’est pas obligé d’aller loin de chez soi. Continuer à lire … « Un temps de VTT »
Ça pleut.
Même le chat trouve le temps caca.
La mariée est en pleurs?
Mariage pluvieux, mariage heureux, disait-on. Continuer à lire … « Ça pleut »
Je reste dubitatif devant le modèle Veltop.
Mais il faut l’avoir éprouvé pour en juger. Continuer à lire … « En mai, investissez! »
La perspective se dessine peu à peu: nous entrons dans la période du mauvais temps, celui qui fait que les cyclo-randonneurs se replient pour la plupart sur des parcours moins gourmands en énergie physique et aussi plus courts. Continuer à lire … « Perspectives hivernales »
Juillet semble vouloir être pluvieux. Comme juin.
Cela ne doit pas pour autant nous dissuader de prendre notre vélo.