
Il a fallu un an à Aspach-le-Haut pour combler les trous de la piste cyclable.
Une honte à ceux qui gouvernent!
Qu’ils se cachent!
Comment s’appelle le maire, déjà?…
Il a fallu un an à Aspach-le-Haut pour combler les trous de la piste cyclable.
Une honte à ceux qui gouvernent!
Qu’ils se cachent!
Comment s’appelle le maire, déjà?…
S.M.B.M. Syndicat Mixte du Barrage de Michelbach
AVERTISSEMENT :
Nous vous signalons la présence sur le site du barrage de Michelbach de la plante invasive << La Berce du Caucase », toxique pour l’homme.
Quels dangers ?
Cette plante contient des substances toxiques qui sont activées par la lumière solaire et rendent la peau très sensible à l’action du soleil. Après un contact avec la plante et sous l’effet de l’exposition au soleil, des lésions plus ou moins graves de la peau se développent en quelques jours.
Attention, en cas de contact avec la Berce: – Lavez soigneusement la peau et changez de vêtements s’ils ont été imprégnés par le suc de la plante, même
si la peau paraît normale.
On les appelle EDPM pour engins de déplacement personnel motorisés. Les trottinettes en font partie, de même que les gyropodes.
On ne se déplace pas comme on veut, ni où on veut avec ces véhicules comme beaucoup semble le croire.
Avez-vous une assurance? c’est la question qui va fâcher nombre d’utilisateurs car un EDPM étant doté d’un moteur, il faut disposer d’un assurance responsabilité civile. Votre assurance familiale multi-risques suffit-elle? Interrogez votre assureur…
Autre idée reçue: on peut conduire son enfant à l’école sur sa trottinette. C’est interdit.
Vendredi 24 septembre se tenait l’AG du Cadres Mulhouse au Carré des Associations.
J’en suis toujours membre bien que n’appartenant plus à l’agglomération mulhousienne. Depuis deux ans, l’AG n’avait pas eu lieu du fait des restrictions sanitaires.
C’était donc l’occasion de se retrouver et de faire un bilan des actions menées.
L’agglo a fait des efforts indéniables surtout avec la pandémie qui a encouragé le vélo en ville. Mais il subsiste des points noirs, insolubles selon les élus. Comme par exemple se résoudre à revoir le plan de circulation des autos là où le vélo est en danger du fait de l’étroitesse des rues.
Un participant s’est par exemple insurgé que devant la clinique du Diaconat bd Roosevelt, ce soit une vraie autoroute où l’on peine à faire du vélo et où les piétons sont menacés pour traverser…en outre un bus a percuté un pilier du préau en bois dressé devant la clinique du Diaconat…et a pris la fuite (DNA)
L’association a modifié ses statuts afin de pouvoir aller en justice à l’avenir et se porter civile dans les préjudices qui la concernent.
Le bureau a été renouvelé et le président Marc Arnold devrait être réélu sans difficulté.
L’association est à la recherche de bénévoles pour animer des vélo-écoles auprès des collèges et piloter des triporteurs pour les personnes âgées et dépendantes des Ehpad.
Il y a toujours une part d’inconnu dans l’organisation d’une rencontre, le public.
Trois participants à la rencontre régionale des « Amis du Randonneur » que j’ai organisée samedi et dimanche à Guebwiller.
C’est un peu décevant évidemment. D’autant que le temps samedi était beau et que j’avais étudié les parcours, rédigé un document de route et bossé un peu l’historique des sites à visiter.
Mon parcours de samedi Murbach/Val du Pâtre 37km/515m a été écourté car la montée à Murbach et au col du Bannstein n’était pas tout à fait en adéquation avec les capacités de ce mini-groupe au demeurant fort sympa.
J’ai donc fait un mix du samedi et du dimanche. L’après-midi, nous sommes tout de même allés sur la colline du Bollenberg et aussi au Val du Pâtre en grimpant par Orschwihr. Désormais l’eau du Val n’est plus potable, c’est marqué! signe des temps?
Mon récit…
Journée détente. Au camping de Guebwiller, je tombe sur cette station de lavage vélo. Mais mon vélo est propre donc je ne l’ai pas essayée.
Mes candidats à la balade sont là. Je commence…on va visiter le musée viticole à la cave du Vieil Armand. On a de la chance : dégustation gratuite de vin nouveau. Puis on va voir Thierenbach. En descendant on s’arrête au cimetière juif. C’est l’heure du casse-croûte devant la mairie à Guebwiller. On repart. Voir la filature Gast à Issenheim. Puis Orschwihr. On monte le Bollenberg. On monte le Chemin viticole jusqu’à Soultzmatt puis on retourne puis on va voir le pressoir devant les caves SCHMITT. Comment monte la grosse pierrre? puis les sophoras à l’église d’Orschwihr. On retourne on monte le Val du Pâtre. L’eau n’est plus potable. On redescend au camping de Guebwiller. Je repars à Thann. Un groupe me dépasse on me dit « interdit de pisser sur le maïs » (le langage cyclo est parfois trivial), je grimpe sur mon vélo et je les rattrape avec un cardio de fou. Je me coince derrière. Il me ramène à Cernay. Ce soir je dors.
Dimanche, on devait aller jusqu’à Eguisheim (58km/732m) qui est un beau village touristique puis rentrer par Husseren-les-Châteaux. J’ai préféré surseoir en raison des orages annoncés et n’ayant plus qu’un seul participant.
Dommage!
Samedi 25 et dimanche 26 septembre, Vélomaxou organise une rencontre cyclotouristique placée sous l’égide des Amis du Randonneur au départ de Guebwiller.
Tous les cyclistes intéressés par ces parcours à l’allure bucolique sont conviés à cet amical rendez-vous.
Départ samedi à 10 heures devant le camping « Le Florival » route de Soultz à Issenheim.
Au programme de ces deux journées:
Détails des parcours routiers:
On apporte son repas tiré du sac.
J’avais écrit un billet il y a plusieurs mois sur cette invraisemblable barrière qui compliquait le passage des cyclistes au bout de la rue de la Thur. Le policier municipal m’avait rassuré : on va mettre à la place des poteaux. On a attendu longtemps mais c’est fait. J’ai des doutes sur les potelets : la nuit on ne les voit pas car la rue est mal éclairée. Il reste un buisson qui pousse au milieu de la route à araser.
Voici mon billet d’origine https://velomaxou.com/2021/03/29/vieux-thann-rue-de-la-thur/
Après l’accident d’un vététiste de Wegscheid victime d’une planche cloutée sur son parcours (article des DNA), force est de constater que l’escalade anti-VTT continue de monter.
Je reste prudent: attendons de voir les développements de l’enquête avant d’accuser quiconque. Cependant il est clair que les détracteurs du VTT se sentent pointés du doigt.
Depuis Alsace Nature, SOS Massif Vosges…jusqu’à certaines sections locales du Club Vosgien qui sous couvert d’édiles complaisants érigent des interdits là où il n’y a pas lieu d’être.
J’en veux pour preuve les berges de la Doller entre Sentheim et Guewenheim où sur les deux rives fleurissent les fameux panneaux « interdit aux VTT »… jusqu’à Roderen ou autour du lac de Michelbach où l’on s’ingénie à dresser des chicanes infranchissables.
Même Joseph Peter, délégué protection nature, patrimoine et paysage au CV 68 se prenait les pieds dans le tapis lorsqu’il déclarait en 2018
Nous nous inscrivons dans un cadre réglementaire. Le code forestier (art.163-6) interdit la circulation de véhicules sur les chemins de moins de deux mètres de large.
puis il poursuit
Le VTT étant un véhicule sur le plan juridique, le vététiste doit pratiquer en dehors de nos sentiers étroits, inférieurs à un mètre.
Or le fameux article 163-6 du code forestier en question ne dit rien de cela.
Aujourd’hui ceux qui posent des interdits feraient bien d’y réfléchir à deux fois car ils portent en germe le terrain de la discorde alors même que le VTT devient une pratique de plus en plus populaire et porteuse d’enjeux sur le plan touristique.
Vous qui aimez le VTT, vous trouverez ici la plupart de mes parcours dans mes Vosges à VTT
Respectez les marcheurs, ne cisaillez pas les sentiers, soyez aimables!
A La Turballe, j’ai déambulé le long du port.
Le bouquiniste Etienne Anclin m’en a demandé trois euros et j’ai traversé la rue jusqu’au quai m’assoir sur la banquette au soleil.
Pas de vélo dans l’histoire, juste un cabo-chef qui rentre tous les soirs chez lui (un planqué, quoi!) de la caserne sur sa mobylette à guidon chromé et niveau d’huile apparent.
C’est l’histoire d’un mec qui veut se faire passer P4, ce bouquin de Perec.
Eux, c’était encore l’Algérie en 62, nous le Tchad à la 72/8.
C’est pour les ceusses qui ont connu l’armée, le ch’uis d’semaine, les chambrées, les guêtres, le pèrecent, les combienktupètesaujus?, les troubads, les faireletrou, les faire’lgrillage, les perm 36 et les 72 et les ASM le lundi (absent sans motif).
Temps de lecture 1 heure en regardant les mouettes.
J’ai rapporté Le Phare de Queffelec, Henri le père, comme pour prolonger mon séjour breton.
Au bord de la route, j’ai maladroitement croqué le phare de Trézien, juste pour m’en souvenir
La mythologie bretonne n’a plus grand chose à voir avec le tourisme de masse qui envahit les plages. Oui, si dans les supermarchés, on trouve du kouign-amann au beurre frais, du cidre bouché de Paimpol et aussi de la Robiquette, le touriste ne s’aventure guère au-delà de la gastronomie dans les profondeurs de l’histoire bretonne.
Le vélo breton n’est pas plus facile qu’ailleurs. Dès que vous empruntez la route littorale, vous devenez un grimpeur de montagne russe traversant tous les précipices des estuaires en prenant de l’élan pour remonter en face.
Mais à la différence de l’Alsace, les revêtements routiers sont bons.
La Bretagne fait des efforts. Mais c’est un pays de bagnoles et de camions comme ailleurs. Du ruban, du ruban asphalté qui sillonne le territoire et des quatre-voies à gogo de Saint-Malo à Vannes.
Les routes secondaires sont étroites, souvent dépourvues de bas-cotés. Si votre guidon tremble, vous êtes bon pour le fossé herbeux qui cache la rocaille.
Route étroite, point de bande centrale! Chacun doit se débrouiller pour le croisement. Les voies centrales partagées sont donc légion et elles permettent de donner un statut au cycliste avec sa voie peinte.
Ne pas s’aventurer sur le sentier douanier avec son VTT, c’est interdit. La renaturation permanente des berges ne réserve qu’une étroite bande aux marcheurs. Pour trouver un espace VTT, il faut se référer aux communes qui disposent de terrains ad-hoc fléchés et balisés, sinon vous êtes bon pour les voies sans issues qui mènent aux champs d’artichauts. Je les ai expérimentées.
Méfiance avec les plages idylliques! à marée basse, le VTT s’il n’est pas fat-bike risque de s’enfoncer dans un sable mouvant ravageur pour les transmissions.
Les stations balnéaires exultent en septembre: les sexagénaires (et plus) prennent possession des lieux.
Ils redécouvrent les joies du vélo, les sexagénaires endurcis. Le vélo électrique fait fureur là-bas. Il n’y a plus que lui. Le Croisic qui s’est longtemps battu pour empêcher l’invasion des camping-cars doit à présent faire face à des hordes de cyclistes qui prennent la grand-rue à contresens, slalomant entre voitures et piétons. La presqu’île n’a pas encore imaginé le double sens cyclable.
J’ai parcouru les marais salants de Guérande sur d’improbables itinéraires en quittant La Turballe, puis je me suis perdu dans Batz-sur-Mer.
Au retour, les paludiers servaient les derniers clients avant fermeture. Un euro le kilo!
Brest a ses adeptes du vélo même si la ville n’est pas plate. Brest est bien investie dans la promotion du vélo grâce à sa jeunesse étudiante. La signalétique y est de qualité et les espaces cyclables bien délimités. Les vélos de location y sont nombreux.
Mes six tours de vélo bretons…
J’ai pris le VTT sans trop savoir à quoi m’attendre. La machine étant polyvalente, finalement j’ai surtout pédalé sur des routes goudronnées.
Ce matin, chantiers d’aménagement de chemins au-dessus de Uffholtz
A l’instigation de Arnaud Masson de l’antenne MBF Massif des Vosges et du président Christian Schott de la section du Club Vosgien de Cernay, vététistes et marcheurs étaient conviés à un entretien des chemins de randonnée à proximité du col de Herrenfluh.
Au moins cinquante participants s’étaient réunis dès sept heures trente afin d’apporter leurs efforts à la consolidation d’un chemin reliant Wattwiller au sommet du Molkenrain…dont certains venus de Gérardmer et de Saverne.
On notait aussi une délégation du club VTT de Thann.
Les organisateurs ont été un peu surpris par le succès de participation au point que les cinq chantiers prévus ont été accomplis en moins de temps que prévu.
Des chantiers pourtant conséquents puisqu’il s’agissait de doubler les trajectoires circulaires afin que marcheurs et cyclistes disposent chacun de leur propre itinéraire.
Les municipalités de Wattwiller et Uffholtz s’étaient associées à la démarche en fournissant une logistique éprouvée… et notamment la pause café et l’apéritif de fin de travaux.
Les maires des deux localités, Matthieu Ermel et Rémi Duchêne, sont venus féliciter les participants à l’issue de la matinée.
La suite en images…
Essais
C’est ce qui s’appelle ronger son frein.*
Ainsi donc le grillon des foyers qui s’est installé sur mon VTT dans le Haut-Jura était tout simplement un grincement des plaquettes pas contentes du tout.
Jacques a essayé de localiser la source hier…
Devant? derrière?…on n’a pas trouvé.
Puis Jacques s’est penché sur la cinématique de la suspension arrière. Constat sans appel: un jeu existe dans les articulations. Des roulements à changer. Mais le bruit de grillon?…
La roue alors?… non elle est neuve!
Regarde tes plaquettes!…on ne voit plus le disque car les garnitures forment une rainure qui cache le disque.
Plaquettes à changer
Je suis parti avec mon jeu de plaquettes neuves (15€).
Les précédentes changées le 27 avril soit 4 mois. 13000 m de D- explique peut-être cela.
Surprise, le grillon a disparu.
Frottement acier contre acier sur le disque ajouré, c’était mon grillon qui faisait kiz-kiz-kiz.
L’expression ronger son frein remonte au XIV eme siècle où le cheval rongeait le mors qu’il avait dans la bouche, le mors servant à régler l’allure du cheval et à l’arrêter.
Plus tard, ronger son frein c’est contenir sa colère
Il serait grandement temps que les DNA (appartenant au groupe de presse EBRA-Crédit Mutuel) se souviennent que les lecteurs sont leur raison d’être…et que sans clients la presse ne peut pas vivre. Sauf à être en permanence sous perfusion à coups de subventions.
La façon dont une entreprise traite ses clients reflète plus ou moins sa santé économique.
J’en suis le témoin ce matin avec la presse écrite régionale. Lire mon témoignage ci-dessous.
S’agissant de la presse régionale, il faut s’armer de courage pour ne pas se désabonner à la première incartade. Être client des DNA (Dernières Nouvelles d’Alsace) devient un vrai jeu de piste dès lors qu’on a une réclamation à formuler.
A l’armée on disait « l’intendance ne suit pas ». Aux DNA c’est pareil, on est confronté à un circuit relationnel où l’on trébuche à chaque étape, victime d’une implacable machine à refouler qui vous dissuade de poser la moindre revendication clientèle.
Mon exaspération passe mal. J’ai cette chance de pouvoir exprimer mon ressenti. Si seulement les DNA pouvaient se ressaisir au lieu de désespérer son lectorat!
Bonjour,
Comment un grand média régional comme DNA peut-il avoir une aussi mauvaise relation client?
Je m’explique.
Lors de ma précédente suspension temporaire, j’ai trouvé une pile de journaux dans ma boite à mon retour de vacances. Explication des DNA « on n’a pas trouvé trace de votre demande en ligne ».
Circulez!
Cette fois pour mes congés de septembre je recommence ma demande en ligne et j’obtiens la mention: « La session utilisateur ne correspond pas à l’action demandée ».
J’appelle le Centre Relation Clients [qui se tient à votre disposition] par téléphone au 03 88 21 56 78″ à 9 heures et je me fais renvoyer sur une messagerie.
J’appelle DNA Thann au 03 89 37 69 90…pas de réponse. Je me déplace (avec mon vélo 4 km AR)…le bureau de Thann est en congés jusqu’au 5 septembre et le téléphone n’est même pas renvoyé.
Je trouve sur la porte de DNA Thann un numéro 03 88 21 55 00 où enfin une personne aimable prend en charge ma demande. Admettez que ça fait beaucoup pour un media professionnel de la communication. J’ai été à deux doigts de résilier tellement on est mal traité.
Avec mes salutations.
Max Tissot
Il va de soi que cette entreprise pilote sa relation clientèle en mode dégradé de façon permanente sans norme de qualité affichée. Des téléphones en mode dissuasion, des décrochés qui ne se font pas, des permanences physiques non assurées, un outil de dialogue informatique complètement obsolète…