













Aujourd’hui rencontre avec des motards au terrain de Rammersmatt.
Je me rends compte combien l’exercice semble périlleux.
Oui le VTT évite de se poser la question du rond de confinement: je suis toujours à l’intérieur en partant de chez moi. Mais j’ai oublié ma carte d’identité. Bof!
Promeneurs
Autour du lac des dizaines de promeneurs…et aussi un groupe de marcheurs peu au fait des prescriptions. Ces gens dont l’âge moyen équivaut pourtant au moins au mien dissertent chemin faisant sans précautions particulières. La notion de risque est à géométrie variable. Il faut croire que le virus ne s’attaque qu’aux populations urbaines.
Deux sur trois
C’est un autre fait. Deux vélos sur trois, des VTT, étaient électriques. Comme quoi l’engouement pour ces machines est total.
Bosses
Chicaneries
C’est toujours un ravissement de découvrir Rammersmatt en chemin.
Une variante assez aboutie de ce parcours maintes fois effectués. On n’a presque pas de route goudronnée.
J’ai déjà grimpé cette route enneigée du Hundsrück l’an dernier. Normalement fermée aux véhicules coté nord (et aux VTT) à partir du Plan Diebold actuellement.
C’est limite au point de vue adhérence avec le VTT. Si on arrête, on a du mal à repartir car ça patine.
Ne pas essayer de redescendre, chute assurée!
Je descends par la Vierge des Bûcherons à Rammersmatt.
Manque de chance pour ce premier jour d’élargissement de notre K6 à 20 km, il a fait moche.
Un brouillard tenace sur l’Alsace et seulement 2 degrés. Finalement, après m’être bien habillé de pied en cap, j’ai tourné court tout en faisant bonne figure pour ce 28 novembre.
C’est déjà de l’histoire. L’histoire d’une histoire.
Revisiter le vieux temps, c’est tout ce qu’on peut faire. En somme on vit à crédit, sans rien construire, ni produire. Le temps s’est arrêté pour un temps incertain. Je puise au fond de mon fonds photographique en tentant d’exhumer une quintessence improbable de ce qui a fait un peu notre raison d’être, notre condition d’existence.
Dès les premiers souffles, les feuilles tombent en masse. Il ne faut pas s’attarder pour photographier ces couleurs automnales.
https://www.openrunner.com/r/12202158
Le club Etoile 78 de Vieux-Thann a repris officieusement ses sorties 2020 à la faveur du temps hivernal clément. Les sorties officielles du club n’interviendront que le samedi 21 mars à 14 heures avec « une mise en jambes » familiale. (voir le programme des sorties sous ce lien)
Parcours audacieux pour cette reprise avec montée à la Napoleonplatz (place du Roi de Rome), puis après le Plan Diebold, le Hundsruck et retour par Rammersmatt. Soit 22 km et 500 mètres.
Le chalet-refuge du Hochburg est familier à ceux qui grimpent le Hundsruck par Rammersmatt. On y a un beau point de vue sur la plaine d’Alsace.
Je grimpe au Hundsrück par le Steinby. Plus qu’une formalité pour moi. Je renâcle jusqu’à la première courbe en quittant Thann où c’est du 8-10%, puis il faudra encore grimper cette pente en forme de toboggan après le Plan Diebold.
Après le monument, je descends par le chalet du Hochburg jusqu’à Rammersmatt, puis je rejoins le lac de Michelbach
Et si vous voulez voir mon parcours semi-poussé, semi roulé, c’est là…
https://www.openrunner.com/r/10624373
J’ai déjà du faire ce parcours plusieurs fois. Avec quelques variantes. Aujourd’hui fort vent d’est froid. Je me protège en forêt. Dans la plaine, même les parcours vent de travers sont pénibles.
Ce que j’apprécie dans ce parcours , c’est d’avoir de beaux points de vue depuis Rammersmatt et surtout qu’après avoir atteint ce point haut, il n’y a plus que de la descente.
Je savais qu’il allait pleuvoir. J’ai donc pris un chemin pas trop éloigné avec le VTT.
C’est sympa comme parcours, le plus dur est en premier. Grimper à la Croix de la Résistance Républicaine qui surplombe Thann.
Une fois là, se laisser guider jusqu’au carrefour du Roi de Rome et rejoindre le Plan Diebold.
Un peu de goudron jusqu’au Hundsruck et rejoindre le monument du Premier Bataillon de Choc.
C’est tout. Il n’y a plus qu’à se laisser descendre au refuge du Hochburg, puis à Rammersmatt.
Prendre le sentier botanique coté Bourbach et rejoindre l’oratoire au Eichwald.
Pour finir en douceur, le tour du lac de Michelbach.
28km et 550m
Pourquoi tour de vis? parce que je voulais lutter contre ma flemme, alors je me suis infligé des pentes.
Les pentes, pour moi, c’est un exercice difficile; il me faut transporter ma personne et son vélo là-haut. J’admire ces jeunes hommes qui sprintent en grimpant. Je n’ai jamais su le faire, ni pu le faire. Heureusement le spectre du vélo est large, il y a de la place pour tout le monde.
Donc aujourd’hui, Amic puis Hundsrück, Schirm et Rammersmatt pour finir.
https://www.openrunner.com/r/10094153
C’était une pluie fine.
Elle n’interdit pas le vélo de loisir.
J’ai pris le VTT car avec lui si le temps est trop menaçant, on est vite rentré à la maison.
J’ai tout de même tenté au km4 un itinéraire hasardeux: le chemin n’existe plus.
Je voulais grimper à Kurrenburg non loin de la vue Zuber, hélas après avoir porté le vélo sur mon dos un petit quart d’heure, j’ai préféré renoncer en faisant demi-tour.
Une fois sur la route de Rammersmatt, je me suis offert le sentier de Mulhberg qui est un délice et qui conduit à Roderen.
Au réservoir j’ai longé le Rueslochbaechle.
A Rammersmatt, j’ai pris le sentier botanique là où la pluie s’est mise à traverser le blouson.
Abrité sous un gros chêne pédonculé j’ai enfilé mon imperméable.
C’est sensationnel, toute la vapeur d’eau enfermée vous procure une chaleur douce.
Mieux qu’Engie!
A Michelbach, j’ai pris Aspach-le-Haut puis le sentier qui conduit aux étangs de Bodenmatten à Roderen.
Ce parcours est sympa.
Y compris sous la pluie.
Je vous le recommande.
Ce matin, j’ai manqué le train.
J’ai aperçu un panache de fumée au bout du chemin, je me suis précipité, il était trop tard.
Impossible de se positionner au bon endroit pour la bonne perspective.
Je n’ai eu droit qu’aux wagons…et au bout du train.
Quand je suis monté à Rammersmatt, l’accueil de la rando de Richwiller attendait ses participants sous le marronnier.
Vous venez de Richwiller?
Non!…
Alors vous êtes un promeneur…
Le saucisson commençait déjà à transpirer à grosses gouttes.
L’organisateur en chef peinait à faire chauffer l’eau sur le réchaud.
L’effet de l’altitude, dira t-il
Puis je suis parti sur le fléchage du retour.
Dépassé par de gros mollets avides de rentrer au plus tôt à la capitale, j’ai bifurqué.
Sans réfléchir.
Les poursuivants s’arrêtèrent, pris d’un doute…
on doit tourner là?…
Puis j’ai poursuivi mon chemin à travers les prairies et les bois comme un papillon qui titube de fleurs en fleurs.
Sur les hauts de Roderen, l’arbre mort retrouvait une vie
Puis vient un nouveau train, un train mielleux qui ne manquait pas de voyageuses
Un gros bourdon m’a poursuivi jusqu’à la route, je l’entendais vrombir près de mon casque.
Je savais que le temps n’incitait pas à la balade.
Je suis donc parti avec l’espoir secret que le temps allait tourner au vinaigre à la pluie.
Gagné!
Au bout de quinze kilomètres, la pluie s’invite.
Ô pas une grosse pluie, juste quelques gouttes éparses.
Pour mesurer le taux de pluie, je compte les gouttes sur le compteur qui fait 16 cm2.
Toutes les dix secondes.
Ça occupe.
Puis j’efface lestement du revers de la main.
Quand je n’arrive plus à compter les gouttes, demi-tour!
Je grimpe à Rammersmatt en quatrième vitesse, puis sous le gros tilleul j’enfile l’imper.
J’ai accompli ma plus courte balade de l’année sur route: 25 kilomètres.
C’est pas bézef comme aurait dit Khalîl Ibn Ahmad Al Farâhîdî.
Je pars à 8h30 ce samedi.
Une façon pour moi de libérer mon après-midi en m’accordant par exemple une sieste.
C’est toujours mes premiers kilomètres qui sont problématiques; c’est parait-il là qu’on nous compare au diesel ou à la locomotive à vapeur qui prennent du temps à chauffer.
Pour forcer le mouvement, je m’offre le petit raidart de Roderen à Rammersmatt.
C’est une façon de resquiller la grimpée de Rammersmatt par Leimbach.
A Lauw, je prends la Seigneurie, puis Petitefontaine et Lachapelle.
Bellemagny, Saint-Cosmes, Bréchaumont, Traubach-le-Haut, demi-tour.
La flemme d’aller jusqu’à Dannemarie.
A Guevenatten, je veux savoir.
Je veux savoir pourquoi cette chouannerie s’empare des habitants.
Le monsieur qui vend ses mirabelles me dit tout.
Intégrés à la communauté de communes de Dannemarie, la taxe d’assainissement devrait bondir de 300%.
Pourquoi?
Parce qu’il faut construire des stations d’épuration partout où il n’y en a pas…alors que Guevenatten a financé elle-même sa station roselière. Elle ne veut pas payer pour les autres.
C’est un beau parcours.
Vous pouvez me croire.
Je le mets dans mes « coups de cœur ».
Pourquoi?
Parce qu’il exploite les capacités touristiques du VTT sans trop de peine.
32km et 500m de dénivelé.
Il est situé entre Thur et Doller.
Tout le monde sera donc content de pouvoir visiter les collines sous-vosgiennes au pied des Hautes-Vosges.
Les points-clés:
La suite en images…
articles en relation
https://velomaxou.com/2017/07/11/michelbach-law-knapphutte-a-vtt/
https://velomaxou.com/2013/08/16/francis-willme-multicollectionneur/
C’est un parcours mixte, route et chemin.
Je ne vais pas m’embarquer aujourd’hui dans des sentiers incertains aux ornières profondes.
Je commence par grimper le Rangen, histoire de voir la ville et son manteau blanc.
Mon titre est un raccourci.
Il devrait être:
Je marche dans les plates-bandes du Club Vosgien.
Je vais me faire engueuler.
Tout commence bien.
Continuer à lire … « Doller-Rocher du Poilu à VTT »Cet après-midi, mode canapé.
Ça tombe bien: y’a des types à vélo qui grimpent le Galibier.
Je suis rentré à midi complètement « lessivé ». Continuer à lire … « Mode canapé »
Presque pas de route dans ce circuit sympa.
D’abord du plat pour commencer jusqu’à Michelbach au départ de Thann.
Au lac, pluie que j’estime passagère. Je traverse la retenue.
Continuer à lire … « Michelbach-Lauw-Knapphütte à VTT »Courir après son ombre, chasser l’ombre, faire de l’ombre, suivre son ombre, ombre furtive, plus vite que son ombre, l’ombre au tableau,…
Ceux qui partent cet après-midi à vélo vont souffrir de la chaleur.
Ce matin je chassais déjà l’ombre! Continuer à lire … « Thann-Sentheim-Michelbach à VTT »
Ce matin la grisaille s’étend sur l’Alsace et les Vosges.
Une averse drue vers huit heures.
Puis à neuf heures, une relative éclaircie, j’en profite pour sauter sur mon destrier. Continuer à lire … « Tentation électrique »
Demain, mauvais temps annoncé.
Alors aujourd’hui, j’en profite vu que le temps est radieux.
Je voulais rallier le Plan Diebold, un truc facile et redescendre par la place du Roi de Rome. Continuer à lire … « Thann-Hundsruck-Rammersmatt à VTT »