C’est un parcours à ma mesure. Ni trop long, ni trop pentu. Avec de beaux paysages naturels. (24km/300m)
Un peu de boue du coté de Roderen, sortie coté pompage jusqu’au terrain moto-cross
C’est un parcours à ma mesure. Ni trop long, ni trop pentu. Avec de beaux paysages naturels. (24km/300m)
Un peu de boue du coté de Roderen, sortie coté pompage jusqu’au terrain moto-cross
Aujourd’hui les arrosoirs de Rougemont. Je m’arrête chaque fois. Je trouve une certaine poésie devant cette exposition d’arrosoirs. Voila qui nous rappelle le temps jadis de nos campagnes.
Non ce ne sont pas ces affreux arrosoirs en plastique rotomoulé qui ne durent qu’une ou deux saisons. Ils sont en acier galvanisé et doivent durer au moins une génération, le temps qu’un minuscule trou de rouille perce le fond.
Puis j’ai pris Lauw sans prendre d’arrosoir
Comité d’accueil pascal à Bourbach
Agnus Dei à Rammersmatt
42km/472m
Parcours pas long mais plein de bosses pour ceux qui connaissent les lieux
Le petit raidard redouté des cyclistes à partir de Roderen
Parcours intuitif.
Je rends visite au chantier du barreau de Vieux-Thann coté Roderen
Puis je file le long de la Doller après ma rencontre avec un chevreuil.
Ensuite je prends la direction de Bourbach station de pompage
Le temps est beau sur les Vosges.
Je grimpe lentement et j’atteindrai la cote 500m à Rammersmatt
Ensuite je vais chercher (formulation alsacienne de je te cherche) Rammersmatt par le sentier botanique
Pause en haut du sentier
Ma deuxième sortie route de l’année.
J’ai remonté la Doller jusqu’à Sentheim. Puis les petits lacets de Rammersmatt. Au village, je baigne dans le brouillard.
Plein d’allant, arrivant à la maison, j’ai décidé de rallonger ma balade. J’avais un peu honte de rentrer aussi tôt.
Je n’avais que 27 km après avoir grimpé Rammersmatt par Bourbach. J’avais un supplément d’âme pour m’encourager à poursuivre ce modeste parcours. Je suis parti divaguer jusqu’à Staffelfelden. 53 km au total.
Mon vélo propre au départ. Tout à refaire en remontant la piste de la Thur couverte de boue.
C’est un parcours sympa que je vous mets en trace Openrunner en bas.(20km/335m)
J’ai commencé par la montée vers Rammersmatt, c’est à dire par la route de Leimbach. Avec l’intention de rester en local car il commençait à pleuvoir comme annoncé par la météo.
Puis je suis redescendu par un délicieux chemin, le circulaire vert à Mulhberg, qui aboutit au pompage/ antenne relais de Roderen. Sorti de la forêt, non, il ne pleuvait pas, j’ai donc poursuivi mon chemin.
Direction Rammersmatt à nouveau par le petit raidard goudronné au bout de Roderen, noté à 12% en arrivant au village. J’ai pu essayer le triple de mon nouveau VTT. Impeccable!
A la ferme je prends le sentier botanique et j’arrive auf dem Berg parking côte 475. A partir de là je suis le sentier des Moineaux à l’envers jusqu’à Hohacker.
Je descends ensuite par le sentier circulaire jaune Bergwald pour rejoindre Aspach-le-Haut. Retour par la piste rue du Traineau.
Parti tôt, rentré tôt. Le décalage horaire me permet de gagner une heure. Non pas au lit mais sur mon vélo. C’est complètement idiot ce truc de changement d’heure. Mais le dire ne sert à rien puisque la communauté européenne campe sur ses positions depuis cinquante ans sans trop comment savoir s’en sortir.
Je ne souvenais pas de ma dernière crevaison. Ce matin je n’ai pu l’éviter. Il a suffi d’un caillou dans la descente du Hundsrück.
Le pincement de chambre n’a affecté que la roue arrière. Pas facile à distinguer sur la route car après la tempête de la nuit dernière, elle était encombrée de branchages et d' »oursins » de châtaigniers.
J’ai commencé par Bitschwiller alors qu’un rayon de soleil éclairait le massif.
Un point de vue sur la vallée qui mérite l’admiration.
La route est jonchée de débris. Mieux vaut descendre au pas.
Retour par Rammersmatt.
Un mini-tour pour ce samedi de 26 km et 600m
Une organisation qui vise à récolter des fonds pour
– La MAISON AU fOND DU COEUR : permet aux parents d’enfants hospitalisés d’être à leur côté au sein de l’hôpital d’Hautepierre.
– le Centre de Réadaptation de Mulhouse : aide à l’acquisition de matériel de rééducation.
– l’ASSOCIATION HUMANITAIRE ET DE PARTAGE DE LUTTERBACH : vient en aide aux familles deshéritées de la commune.
J’ai pris le parcours route 60km qui passait par Rammersmatt, puis Roderen. Avec trois cyclos de Richwiller, nous avons ouvert la marche.
Parcours classique qui convient bien aux retraités en herbe et plus si affinités. Notre super-senior avait déjà quatre vingtaines au compteur. C’est dire si le vélo conserve! Je touche du bois.
Avant d’arriver à Rammersmatt, le ravito où l’on cause. On cause tellement qu’on oublie le retour.
Je file. Et à Aspach, je prends Cernay pour ne pas retourner à Lutterbach.
Sympa d’avoir retrouvé l’ambiance du passé.
https://www.openrunner.com/route-details/16070989
Un tour de 21km/270m. La neige est annoncée alors mieux vaut sortir avant.
Une invention, monter à Rammersmatt par le raidillon et redescendre par le sentier botanique. Une invention peu inédite que beaucoup connaissent.
Je m’en contenterai pour aujourd’hui, les chemins sont parcourus de rigoles et on est « repeint » à l’arrivée.
Auparavant, j’ai pris Rammersmatt, je suis redescendu à Roderen avant de prendre Bourbach-le-Bas. Descente de la vallée du Soultzbach.
Un bon entraînement pour bien passer les fêtes!
Vous pouvez l’essayer, il est sympa. Le lien est en bas. (55km/500m)
Aujourd’hui rencontre avec des motards au terrain de Rammersmatt.
Je me rends compte combien l’exercice semble périlleux.
Oui le VTT évite de se poser la question du rond de confinement: je suis toujours à l’intérieur en partant de chez moi. Mais j’ai oublié ma carte d’identité. Bof!
Promeneurs
Autour du lac des dizaines de promeneurs…et aussi un groupe de marcheurs peu au fait des prescriptions. Ces gens dont l’âge moyen équivaut pourtant au moins au mien dissertent chemin faisant sans précautions particulières. La notion de risque est à géométrie variable. Il faut croire que le virus ne s’attaque qu’aux populations urbaines.
Deux sur trois
C’est un autre fait. Deux vélos sur trois, des VTT, étaient électriques. Comme quoi l’engouement pour ces machines est total.
Bosses
Chicaneries
C’est toujours un ravissement de découvrir Rammersmatt en chemin.
Une variante assez aboutie de ce parcours maintes fois effectués. On n’a presque pas de route goudronnée.
J’ai déjà grimpé cette route enneigée du Hundsrück l’an dernier. Normalement fermée aux véhicules coté nord (et aux VTT) à partir du Plan Diebold actuellement.
C’est limite au point de vue adhérence avec le VTT. Si on arrête, on a du mal à repartir car ça patine.
Ne pas essayer de redescendre, chute assurée!
Je descends par la Vierge des Bûcherons à Rammersmatt.
Manque de chance pour ce premier jour d’élargissement de notre K6 à 20 km, il a fait moche.
Un brouillard tenace sur l’Alsace et seulement 2 degrés. Finalement, après m’être bien habillé de pied en cap, j’ai tourné court tout en faisant bonne figure pour ce 28 novembre.
C’est déjà de l’histoire. L’histoire d’une histoire.
Revisiter le vieux temps, c’est tout ce qu’on peut faire. En somme on vit à crédit, sans rien construire, ni produire. Le temps s’est arrêté pour un temps incertain. Je puise au fond de mon fonds photographique en tentant d’exhumer une quintessence improbable de ce qui a fait un peu notre raison d’être, notre condition d’existence.
Dès les premiers souffles, les feuilles tombent en masse. Il ne faut pas s’attarder pour photographier ces couleurs automnales.
Le club Etoile 78 de Vieux-Thann a repris officieusement ses sorties 2020 à la faveur du temps hivernal clément. Les sorties officielles du club n’interviendront que le samedi 21 mars à 14 heures avec « une mise en jambes » familiale. (voir le programme des sorties sous ce lien)
Parcours audacieux pour cette reprise avec montée à la Napoleonplatz (place du Roi de Rome), puis après le Plan Diebold, le Hundsruck et retour par Rammersmatt. Soit 22 km et 500 mètres.
Le chalet-refuge du Hochburg est familier à ceux qui grimpent le Hundsruck par Rammersmatt. On y a un beau point de vue sur la plaine d’Alsace.
Je grimpe au Hundsrück par le Steinby. Plus qu’une formalité pour moi. Je renâcle jusqu’à la première courbe en quittant Thann où c’est du 8-10%, puis il faudra encore grimper cette pente en forme de toboggan après le Plan Diebold.
Après le monument, je descends par le chalet du Hochburg jusqu’à Rammersmatt, puis je rejoins le lac de Michelbach
Et si vous voulez voir mon parcours semi-poussé, semi roulé, c’est là…
J’ai déjà du faire ce parcours plusieurs fois. Avec quelques variantes. Aujourd’hui fort vent d’est froid. Je me protège en forêt. Dans la plaine, même les parcours vent de travers sont pénibles.
Ce que j’apprécie dans ce parcours , c’est d’avoir de beaux points de vue depuis Rammersmatt et surtout qu’après avoir atteint ce point haut, il n’y a plus que de la descente.
Je savais qu’il allait pleuvoir. J’ai donc pris un chemin pas trop éloigné avec le VTT.
C’est sympa comme parcours, le plus dur est en premier. Grimper à la Croix de la Résistance Républicaine qui surplombe Thann.
Une fois là, se laisser guider jusqu’au carrefour du Roi de Rome et rejoindre le Plan Diebold.
Un peu de goudron jusqu’au Hundsruck et rejoindre le monument du Premier Bataillon de Choc.
C’est tout. Il n’y a plus qu’à se laisser descendre au refuge du Hochburg, puis à Rammersmatt.
Prendre le sentier botanique coté Bourbach et rejoindre l’oratoire au Eichwald.
Pour finir en douceur, le tour du lac de Michelbach.
28km et 550m
Pourquoi tour de vis? parce que je voulais lutter contre ma flemme, alors je me suis infligé des pentes.
Les pentes, pour moi, c’est un exercice difficile; il me faut transporter ma personne et son vélo là-haut. J’admire ces jeunes hommes qui sprintent en grimpant. Je n’ai jamais su le faire, ni pu le faire. Heureusement le spectre du vélo est large, il y a de la place pour tout le monde.
Donc aujourd’hui, Amic puis Hundsrück, Schirm et Rammersmatt pour finir.
C’était une pluie fine.
Elle n’interdit pas le vélo de loisir.
J’ai pris le VTT car avec lui si le temps est trop menaçant, on est vite rentré à la maison.
J’ai tout de même tenté au km4 un itinéraire hasardeux: le chemin n’existe plus.
Je voulais grimper à Kurrenburg non loin de la vue Zuber, hélas après avoir porté le vélo sur mon dos un petit quart d’heure, j’ai préféré renoncer en faisant demi-tour.
Une fois sur la route de Rammersmatt, je me suis offert le sentier de Mulhberg qui est un délice et qui conduit à Roderen.
Au réservoir j’ai longé le Rueslochbaechle.
A Rammersmatt, j’ai pris le sentier botanique là où la pluie s’est mise à traverser le blouson.
Abrité sous un gros chêne pédonculé j’ai enfilé mon imperméable.
C’est sensationnel, toute la vapeur d’eau enfermée vous procure une chaleur douce.
Mieux qu’Engie!
A Michelbach, j’ai pris Aspach-le-Haut puis le sentier qui conduit aux étangs de Bodenmatten à Roderen.
Ce parcours est sympa.
Y compris sous la pluie.
Je vous le recommande.
Ce matin, j’ai manqué le train.
J’ai aperçu un panache de fumée au bout du chemin, je me suis précipité, il était trop tard.
Impossible de se positionner au bon endroit pour la bonne perspective.
Je n’ai eu droit qu’aux wagons…et au bout du train.
Quand je suis monté à Rammersmatt, l’accueil de la rando de Richwiller attendait ses participants sous le marronnier.
Vous venez de Richwiller?
Non!…
Alors vous êtes un promeneur…
Le saucisson commençait déjà à transpirer à grosses gouttes.
L’organisateur en chef peinait à faire chauffer l’eau sur le réchaud.
L’effet de l’altitude, dira t-il
Puis je suis parti sur le fléchage du retour.
Dépassé par de gros mollets avides de rentrer au plus tôt à la capitale, j’ai bifurqué.
Sans réfléchir.
Les poursuivants s’arrêtèrent, pris d’un doute…
on doit tourner là?…
Puis j’ai poursuivi mon chemin à travers les prairies et les bois comme un papillon qui titube de fleurs en fleurs.
Sur les hauts de Roderen, l’arbre mort retrouvait une vie
Puis vient un nouveau train, un train mielleux qui ne manquait pas de voyageuses
Un gros bourdon m’a poursuivi jusqu’à la route, je l’entendais vrombir près de mon casque.
Je savais que le temps n’incitait pas à la balade.
Je suis donc parti avec l’espoir secret que le temps allait tourner au vinaigre à la pluie.
Gagné!
Au bout de quinze kilomètres, la pluie s’invite.
Ô pas une grosse pluie, juste quelques gouttes éparses.
Pour mesurer le taux de pluie, je compte les gouttes sur le compteur qui fait 16 cm2.
Toutes les dix secondes.
Ça occupe.
Puis j’efface lestement du revers de la main.
Quand je n’arrive plus à compter les gouttes, demi-tour!
Je grimpe à Rammersmatt en quatrième vitesse, puis sous le gros tilleul j’enfile l’imper.
J’ai accompli ma plus courte balade de l’année sur route: 25 kilomètres.
C’est pas bézef comme aurait dit Khalîl Ibn Ahmad Al Farâhîdî.