La Fubicy lance sa campagne « respectez les vélos! » du 15 au 21
mars.
Des planches autocollantes à apposer sur le pare brise des
véhicules mal stationnés sont disponibles.
A imprimer sur étiquettes
autocollantes J8165
La Fubicy lance sa campagne « respectez les vélos! » du 15 au 21
mars.
Des planches autocollantes à apposer sur le pare brise des
véhicules mal stationnés sont disponibles.
A imprimer sur étiquettes
autocollantes J8165
Des tiraillements se font jour dans le club CCK (Cyclo Club
Kingersheim); normal: c’est un des plus grands de la région avec
262 membres!
Un des clubs les plus prisés aussi pour son caractère sportif
affirmé et qui sait attirer des compétiteurs.
Evidemment, il arrive qu’il y ait de la « casse » comme hier, où
un participant à la journée « Perce Neige » s’est retrouvé à l’hôpital à la
suite d’une chute.
Des comportements de compétition sur la voie publique en dehors
de tout cadre réglementaire qui mettent évidemment en jeu la
responsabilité des dirigeants…et des règles pas toujours
respectées comme celle du port du casque pourtant votée par les
membres.
Au point même que le webmestre vient de mettre en ligne sur son
site une vidéo fort révélatrice du climat intérieur.
Ambiance…
La Fédération
Sportive et Gymnique du Travail (FSGT) trouve ses origines dans
le sport populaire et dans le militantisme ouvrier dès le 19eme
siècle.
Toujours engagée politiquement aujourd’hui (cf. la page
d’accueil de son site), cette fédération comprend 220.000
membres.
Omnisportive, la FSGT comporte de nombreuses disciplines. Ses
clubs cyclistes sont plutôt tournés vers la compétition, à la
différence de la FFCT qui promeut avant tout le cyclotourisme.
En 2007, FSGT et FFC ont du signer un communiqué commun pour régler leurs
divergences dans le domaine cycliste.
La FSGT est surtout représentée dans le sud Alsace par le club
cycliste CCK et dans une moindre mesure par celui de l’ACRM.
Le bulletin fédéral n°113 de février 2010 de la FFCT est
paru.
Maxou s’est arrêté sur quelques sujets.
La revue
Cyclotourisme
Périodiquement, cette belle revue sur papier glacé (ci contre)
revient dans les sujets de discussion de nos dirigeants
fédéraux.
C’est qu’elle coûte cher, la revue Cyclotourisme, pas moins de
150.000 euros rien qu’en fabrication et encore 102.000 euros pour
l’expédier!
Tout cela pour un lectorat d’à peine 17000 abonnés sur les
120.000 licenciés que compte la Fédération.
Autant dire que la FFCT perd de l’argent avec cette revue dont
les abonnements (25 euros) ne compensent pas les coûts.
Bien qu’abondamment illustrée avec une rédaction de qualité, son
contenu ne suffit pas à enrayer l’hémorragie de lecteurs.
Il est vrai que la FFCT tarde à se remettre en question en ne
tirant pas suffisamment les conséquences de la concurrence internet
sur les publications « papier ».
Pourquoi ne pas proposer cette revue sous forme numérisée en
évitant des coûts d’impression et d’expédition?
Les
licences:
De quoi faire bondir!
Chaque édition annuelle de licences coûte 46000 euros à fabriquer et…20.000
euros à expédier soit 66.000 euros au total
La bisbille FFCT
-FFC
Les « VTTistes » sont l’objet de tiraillements entre FFCT et
FFC.
Normal! Le VTT a le vent en poupe et certains ont même des
fourmis dans les jambes…ils aimeraient rallier la FFC plus
sportive à leurs goûts pour organiser leurs randos.
Pourtant c’est la FFCT qui a la délégation nationale pour gérer
les rando VTT…
Attendons donc la suite…
Le développement
durable
Evidemment, la Fédé s’est emparée de ce machin appelé le
développement durable pour constater qu’enlever les
fléchages en voiture aprés les parcours, ça polluait!
Gag!
Maxou propose que dorénavant on enlève les fléchages à l’aide
d’une remorque attelée à un vélo, une sorte de vélo-balai pour tout
nettoyer.
La chasse aux coups de tampons est repartie.
Comme à chaque début de saison FFCT, les adhérents doivent à
nouveau se promener avec, dans la poche, le sacro-saint carnet à
tampons qui atteste de leurs sorties organisées.
Y’en a marre!
Quand les clubs vont-ils enfin se doter du Programme de Sécurité
de Gestion des Inscriptions (PSGI) permettant sur simple lecture du
code à barres de nos licences de nous enregistrer?
Rappelons que ces code à barres existent depuis 2005. Cinq ans
pour être à la page, n’est-ce pas un peu long?
cliché Vaude
On hésite parfois à mettre son vélo sur un porte vélo extérieur
pour partir en voyage: risque de vol, risque de salissures, prise
au vent,…
L’autre solution, c’est d’embarquer son vélo à l’intérieur du
véhicule…
Pas toujours évident: question de place, risque de se blesser au
contact, risque de déposer de la graisse de chaîne sur les
sièges,…
La solution, c’est la housse de voyage.
Matelassée ou pas.
Pour un voyage en voiture, le matelassage intérieur n’est pas
obligatoire.
Il faut quand même pouvoir disposer d’une place de 110 x 95 x 23
cm.
Si vous allez à l’hôtel, vous emportez votre bagage vélo avec
vous sans risquer de vous le faire voler dans la voiture.
La marque Vaude fabrique une housse à un prix
correct de 70 euros.
Décathlon (B’Twin) a aussi un modèle
similaire.
Si vous craignez d’endommager votre vélo dans la soute d’un bus
ou d’un avion, il existe aussi la valise en forme de coque ABS,
mais ce n’est plus le même prix; compter 580 euros!
Un modèle semi-rigide en ABS plus abordable, 270 euro
82km/h, c’est pour l’heure la vitesse maximale de vent
enregistrée à Mulhouse.
Pour suivre l’évolution en direct, c’est ici.
cliché « la tête dans le
guidon »
C’est dans le site « La Tête dans le Guidon » qu’on apprend qu’il
existe maintenant une qualification obligatoire pour être
réparateur de cycles.
Qu’on se le dise!
On n’arrête pas le progrès.
– Grands itinéraires à vélo en Europe?
– Les véloroutes ont leur site; pas besoin de chercher
ailleurs!
– Un tour de vélo en Europe?
Tous les renseignements pour choisir et préparer votre
voyage.
Votre prochain voyage à la carte est ici, peut-être…
Avec Cartovélo, trouvez la carte de votre itinéraire
vélo!
Pour se déplacer à Paris à vélo, un calculateur
d’itinéraire…GéoVélo.
Pourquoi pas?
En attendant que ce vent
tempétueux fasse son oeuvre, on en réduit à rester chez
soi…
Cliché Chicks and Bikes
Elles sont là.
Puis, elles disparaissent.
Les filles à cyclos.
C’est comme nos âges canoniques.
Ils étaient là, encore hier…et aujourd’hui, ils ont
disparu.
Comme par enchantement, la rédemption du cycliste est arrivée.
Avec les Perce Neige annonciateurs du printemps.
Vivent les jeunes filles évanescentes à vélos!
Le Cyclo Club Kingersheim organisait sa traditionnelle randonnée
des Perce Neige aujourd’hui.
Cette sympathique réunion marquait le retour des randonnées
cyclistes 2010 organisées par les clubs de la région.
L’occasion pour certains de se remettre en selle après quelques
semaines d’interruption.
Outre les membres du CCK venus nombreux honorer ce premier
rendez-vous officiel de leur club, on notait aussi une
representation des cyclos de Staffelfelden ainsi que de l’ACRM.
Les parcours proposés conduisaient le long des collines
sous-vosgiennes depuis Aspach le Haut jusqu’à Merxheim.
Malgré un temps médiocre, cette journée a permis de renouer avec
la ferveur et la bonhomie habituelle du monde cyclotouriste.
Reportage en images…
Un dessin animé d’Osvaldo Cavandoli, célèbre dessinateur disparu
en 2007.
Jamais un cyclo alsacien ne songerait à aller visiter le
Bioscope avec son vélo. A deux pas du massif vosgien.
Cette usine à touristes inventée de toutes pièces par Pierre
et Vacances à Ungersheim sur un ancien site minier a été
portée sur les fonds baptismaux à grands coups de millions par la
Région.
Tout cela pour concurrencer un Eco-musée qui ne
demandait qu’à vivre et qu’on visitait avec bonheur en famille.
Si les Verts d’Europe Ecologie sont élus à la
Région d’Alsace, ce qui est loin d’être invraisemblable, ils
déclarent vouloir tout arrêter.
Je dis « chiche! »
C’est l’hallali chez les pétroliers: les ventes de pétrole sont
en baisse; au point qu’il va falloir fermer la raffinerie de
Dunkerque. Quand les syndicalistes seront calmés.
Pour commencer.
Cette baisse là, on ne l’attendait pas de sitôt. Elle n’était
que dans des esprits chagrins: des écologistes attardés et des
décroissants utopiques.
Mais essayons de faire un peu de politique-fiction!
Ne va t-on pas droit à l’affrontement devant tant de déconvenues
du monde croissant ?
Entre les tenants d’un productivisme outrancier et ceux qui
prônent un autre mode de développement plus respectueux de la
planète?
Transport doux, dites-vous? n’est-ce pas un euphémisme quand il
s’agit de nous faire redécouvrir la marche à pied et le vélo?
Retourner au Moyen-Age?
Jamais!
Partout, les esprits se crispent.
Les véhicules électriques tardent à dépasser le stade de la
planche à dessin; les écologistes sentent le débat nucléaire leur
échapper avec de nouveaux besoins providentiels en centrales EPR,
pain béni contre l’effet de serre.
Les élections régionales n’arrangent rien puisque les transports
sont au coeur de la problèmatique; comme en Ile de France où gauche
et droite se déchirent sur les solutions propres à sortir de la
thrombose parisienne.
Pour corser le tout, la SNCF ne cesse de s’enfoncer dans le
rouge et AIR FRANCE enregistre son plus fort recul avec un déficit
d’1,3 milliard d’euros en 2009.
En attendant que des solutions émergent de cette crise de
société, il ne reste plus qu’à enjamber nos bécanes.
Doit-on se satisfaire de la situation?
Certes, non!
Mais il faut encore attendre…attendre que le monde politique
prenne conscience qu’il n’est pas à la hauteur des enjeux.
Il ne suffit pas de stigmatiser des comportements imbéciles chez
les automobilistes; les cyclistes savent aussi se faire
remarquer.
Après 35 ans de pratique cycliste et d’observation de nos modes
de vie à vélo, Maxou croit pouvoir identifier non seulement les
individus porteurs du gène de compatibilité avec la
« beaufrerie », mais aussi les organisations qui en
facilitent le développement et en tirent profit.
Il est vrai que parmi la confrérie du beauf à vélo, on
trouve tout.
Du beauf léger au beauf profond; ce dernier
étant inguérissable.
Il est vrai que l’étude de la beaufrerie cycliste
mérite quand même un bref retour historique pour mieux comprendre
ses origines.
C’est dans la compétition cycliste qu’est né au siècle passé le
beauf: porté par l’enthousiasme d’une course populaire et
d’une reconnaissance qui le fera sortir de l’anonymat, le
beauf n’hésitera pas à courir sur son vélo mono pignon
pour gagner le cochon offert par le club cycliste cantonal. C’est
dans ce prolongement du « courir pour bouffer gras » que
l’entreprise Cochonou, au damier rose et blanc, perpétue
la tradition beauf en vendant son saucisson sur la
caravane du Tour de France.
Mais, restons humbles!
Avant de gagner la course, et accessoirement le cochon, il
fallait aussi savoir boire « cul sec la potion magique »
avant le départ et pisser dans les rayons en soulevant le
cuissard sans quitter la bécane.
Aujourd’hui, le beauf à vélo porte beau: il est capable
de poser son vélo carboné et de traverser la rue à pied sur ses
cales TIMES à bascules, sans tomber, les Rayban
sur le front, pour aller boire le pastis chez Bébert avant
d’allumer le barbecue.
Le beauf pulsatile réagit inopinément.
Il choisit de franchir les feux rouges et les stop
sans appréhension en balançant au besoin un coup de
latte dans la carrosserie qui va le perturber et apostropher
le quidam récalcitrant.
Gardons pour la fin les clubs de beaufs; ceux qui
cultivent le mythe du cyclisme de compétition pour les vieux
beaufs sur le déclin. En somme des maisons de retraite
pour beaufs coureurs.
Ces clubs là, à l’enseigne cyclo-sportive, sont des officines
théâtrales. Elles apprennent aux jeunes à devenir beauf au
contact des vieux beaufs. Et vous décernent même de beaux
diplômes colorés de « beauf premier degré ».
Il suffit pour cela de crever le maximum de copains lors d’une
tournée. Puis de se retourner, 10 km après, et de s’étonner que
Paul, Martin, Jacky et même Marie-Hélène, la groupie, ne soient
plus dans la roue.
Mais ce n’est pas tout. Le but de la sortie beauf,
c’est aussi de ne pas dire, ni même de savoir où on va…et de se
perdre aux carrefours.
Le beauf malgré lui, avouera en haut de côte, à
l’agonie, « je connais le chemin, les gars, je rentre tout
seul! »
Ne nous trompons pas!
Parmi les cyclistes urbains, il existe aussi des
beaufs: ceux qui du haut de leurs destriers effraient le
petit peuple à pied, petits vieux et enfants, grand-mère hésitante
en se jouant des espaces piétons. Et ceux qui sans vergogne
vous dépassent dangereusement.
A tout ces beaufs là, Maxou délivre un brevet de
beaufitude.
En marge du cyclisme, cette semaine, un article très intéressant
dans Carfree sur l’avenir des lotissements.
« les lotissements sont toujours nommés d’après ce
qu’ils détruisent. Si cela s’appelle “Clairière
des écureuils”, cela veut dire que tous les écureuils ont été
exterminés. Si c’est “La chênaie”, il n’y a
plus de chênes”!
On connait bien le phénomène en Alsace où chaque année les
écologistes se désolent de voir les surfaces agricoles sans cesse
amputées par des zones pavillonnaires nouvelles.
L’agglomération mulhousienne en est l’exemple même avec ses
cités héritées depuis l’ère potassique et aujourd’hui encore
copiées à Kingersheim, Wittenheim,…
Avec tous les dégâts collatéraux inéluctables: destruction des
espaces naturels, bétonnage des surfaces, gaspillages énergétiques,
accroissement des distances de transport, inondations,…
A lire dans Carfree
On reste circonspect…
Cette belle demoiselle a t-elle vraiment choisi de faire la
sieste avec son vélo? de crainte qu’on lui ravisse pendant sa
pause?
Ou bien veut-elle s’assurer les charmes de son séducteur en lui
confisquant sa roue?
Osera t-il venir chercher l’objet du désir?
Etre bien vu la nuit à vélo, c’est nécessaire.
Ce cyclo là a vu rouge lorsqu’il a décidé de s’attaquer au
problème.
La double potence, vous connaissez?
Pour les quatre mains?
Non!
C’est juste pour fixer le sac de guidon.
Plus de détails ici.
35 centièmes!
Voila un titre facile.
35 centièmes de millimètre, soit 17.5 centièmes de millimètre
sur chaque joue.
C’est le creux du petit sillon que les patins de freins ont
dessiné sur ma jante Campagnolo arrière.
Oui, nos jantes s’usent.
Comme les disques des voitures.
On m’a même dit qu’on arrive à percer la jante!…
Le plus tard possible serait le mieux.
Mais il faut surveiller l’usure qui fragilise la jante et peut
entraîner au pire l’éclatement du pneu par détachement du
métal.
En écho à mon article « 35/100 », un fidèle lecteur nous adresse cette photo
d’une jante « découpée » par suite de l’usure…
Edifiant!
Pour ceux qui veulent s’instruire ou apprendre à rayonner une
roue…c’est ici!
C’est quoi, au fait, l’esprit club?
Maxou reste perplexe…
Les comités ont été réélus, les licences distribuées, les
calendriers publiés.
Alors, ça roule!
Quoi demander de plus?
C’est que le club n’est plus ce qu’il était: des gens partageant
une passion, un passe-temps ou plus simplement un intérêt
commun.
Bref, une communauté!
Non, il n’est plus ce qu’il était le club; les intérêts de l’un
ne sont plus tout à fait les intérêts de l’autre et des grincements
se font entendre ça et là.
Comme ces dirigeants qui peinent à faire respecter la cause
commune et les réglements. La gestion des tensions s’est donc
invitée dans les clubs avec plus ou moins de réussite pour des
administrateurs parfois peu préparés aux contorsions sémantiques
avec leurs membres.
« Si t’es pas content, prends la porte! »
Evidemment, ce n’est pas la bonne méthode. Il faut au contraire
y mettre les formes et ébaucher des compromis.
Pas des compromissions.
Les compromis ont l’énorme défaut de décevoir les
inconditionnels, les absolutistes.
Même à vélo, on ne veut plus rouler en file indienne. Chacun
veut en faire à sa tête. Pas question de rouler à allure modérée,
ni derrière un capitaine.
Aujourd’hui, il faut « cracher le feu ». Faire impression. C’est
de bon ton dans une société qui vous avantage. Pourvu que ce soit
au péril de l’autre.
Au point que certains rechignent à porter le casque sur route,
en dépit du règlement.
C’est vrai, quoi! Porter le casque, ce n’est pas fun;
c’est même ringard aux yeux de certains compétiteurs en retraite
venus se recycler dans les clubs cyclos.
Va t-on vers la fin des clubs associatifs cyclistes, tant
l’intolérance et l’indiscipline prend le pas sur tout?
C’est la question.
Le bénévolat n’attire plus, tellement les contraintes de tous
ordres dissuadent les postulants et tellement les titulaires s’y
accrochent becs et ongles comme la profession politique.
On reste donc sur sa faim: des formules cyclos qui s’étiolent et
qui peinent à se renouveler, des « francs tireurs » qui s’ingénient à
semer la zizanie au sein des groupes.
La boucle est bouclée.
Les clubs deviennent peu ou prou des officines qui distribuent
des assurances et hébergent des coucous.
L’imagination fertile de Vélomaxou est mise à l’épreuve.
Comment trouver un titre attrayant, novateur pour illustrer une
balade cent fois répétée au cours de l’hiver?
Encore une fois aujourd’hui, on se contentera de rouler « à
plat », sur un parcours rodé et tellement monotone qu’on pourrait
s’en lasser…
Non!
On ne se lasse pas.
Pourvu qu’on sacrifie à notre irrépressible besoin de pédaler et
de deviser avec les nouveaux venus.
Cheminement vent portant avec quelques crevaisons qui permettent
de réviser notre savoir-faire et de vérifier notre bonne
humeur.
Qui cherchera le petit gravier inséré subrepticement au fond de
la bande de roulement?
Qui pompera aujourd’hui avec une bonne « Zefal » des familles?
C’est au retour que nous prendrons la douche avec une eau « qui
mouille » comme il convient.