Déhanché

oùksait? (écriture inclusive)

Pédaler déhanché, c’est un peu le pédalage en canard. C’est celui que j’adopte depuis un certain temps.

Je regarde si le gros chien ne me poursuit pas (Bellemagny) (huile 55×46)

J’ai regardé dans le dico. Pas de doute, je pédale déhanché, c’est à dire en me dandinant sur le vélo.

C’est caractéristique des types qui n’ont « plus de jambes » pour rentrer et aussi de ceux qui souffrent d’arthroses dans les genoux ou les hanches. Sinon en compét, il y a ceux aussi qui sprintent sur la ligne d’arrivée.

Le seul moyen pour nous de garder de la motricité quand on a mal à chaque tour de pédalier, c’est d’ajouter du poids dans le pédalage pour moins éprouver la musculature jambière des cuisses et des mollets.

C’est pas beau un mec qui se dandine sur la route, mais c’est le moyen de prolonger le vélo et d’épargner le cycliste tant qu’on pourra.

Saint-Cosme

acrylique sur papier 40×30

J’y suis passé dimanche dernier avec mon vélo.

Arrivé en haut de la côte de Traubach, je m’arrête et je me retourne. J’adore ce paysage avec ses brumes, les Vosges dans le lointain et son village ramassé autour de son église fortifiée.

On pourra dire que c’est une pochade car le papier boit ma peinture malgré le fond de teint. J’ai essayé de respecter une certaine harmonie des couleurs, c’est surtout à quoi je me préoccupe à présent après tant et tant de tutos Youtube regardés.

La Hague

Huile 25×25

Tout au bout de la Hague, après avoir dépassé l’immense complexe de retraitement des déchets nucléaires, un petit port sympa comme tout. Et son phare du Goury.

Thann, rue des Remparts

acrylique sur toile 50×50

La rue des Remparts donne un beau point de vue sur les ruines du château de l’Engelbourg en haut de la colline et sur le tribunal de proximité au bout de la rue

Thann, collégiale

huile sur toile 40×50

Thann, la Thur

huile sur toile 40×50

Je me suis remis à l’ouvrage. Après une nuit de sommeil, ma peinture a un peu durci et j’ai pu affiner mes teintes. J’ai toujours des difficultés à ne pas rompre l’harmonie des couleurs. C’est un parti-pris d’apprécier, d’interpréter ce qu’on voit. Je l’apprends souvent à mes dépens dans les tons sombres. Apprécier ce qui est marron, ou bleu, ou noir n’est pas simple.

Alors je teste.

La vigne du Rangen dans le lointain est jaunâtre, mais je dois me résoudre à y porter du bleu car le lointain doit se fondre avec le ciel. J’ai donc rapproché les teintes du ciel et du Rangen afin que mon premier plan soit là où l’œil s’accrochera en premier.

Puis le cheminement de l’œil doit prendre la rivière pour voyager dans le tableau jusqu’à la Tour des Sorcières avec son bonnet rond.

Faîtes l’essai vous-même!

Je ne sais pas si ce bar fermé rouvrira un jour. J’aimais bien la guinguette les soirs d’été.

Avec l’huile, on a vite fait d’arracher ce qui en-dessous et donc de salir sa peinture. Il faut du doigté, nettoyer souvent le pinceau avant d’arriver à un rendu propre.

Ces apprentissages m’occupent presque à temps plein actuellement. C’est la traîtrise de la retraite.

Chapelle St-Nicolas, Oderen

huile sur carton toilé 30×40

Bouxwiller

huile sur bois 50×40

Chêne Wotan

acrylique sur toile 50×40

Chêne Wotan, c’est un lieu-dit au-dessus de Thann.

Voir les images ici…

Hochburg

huile sur toile 40×30

Waldkapelle

acrylique sur toile 50×40

Route du Haag

Huile sur toile 50×40

La route du Haag qui permet de rejoindre le col du Haag depuis Geishouse est peu empruntée du fait de ses nids de poule. C’est tant mieux!

Pourtant les édiles locaux ne désespèrent pas d’obtenir des subsides pour y faire passer le Tour de France.

Une façon détournée de créer une voie de plus pour faire monter un peu plus de monde en voiture et à moto sur la route des Crêtes.

Roderen

Huile sur carton toilé 30×40

L’Ill

L’Ill à Ensisheim (acrylique sur toile 50×40)

Mesnil-Saint-Père

Huile carton toilé 40×30

Mesnil-Saint-Père est au bord du lac du la Forêt d’Orient dans l’Aube.

Vague

huile sur carton toilé 30×40

Fangouse à Lattes

J’ai sorti mon chevalet tout neuf et j’ai cherché un endroit désert pour peindre en « direct » sur le motif. Mais un samedi, c’est un jour de loisirs. Alors j’ai vu des cyclistes, des runners, des promeneurs en nombre qui regardaient tous dans ma direction le bonhomme qui peignait dans une légère bruine. J’ai cadré à la hâte dans ce vignoble envahissant. Au fond des pins parasols et le domaine de Fangouse. Au bout de deux heures avec un peu de vert olive, d’ocre jaune et de terre d’ombre, j’ai estimé que je ne pourrais pas faire mieux. Il fallait remballer.


Diefmatten

Imaginaire

acrylique sur toile 40×50

Parfois j’imagine un paysage en partant du réel. C’est le cas ici avec ces montagnes alpestres qui n’existent pas chez nous.

René et Linda, peindre dans la bonne humeur

Mon autre dada avec le vélo, c’est la peinture.

Les chaînes YouTube m’aident à progresser à trouver des idées, des conseils pour mieux peindre..

Depuis quelques semaines je me consacre à un site sympa, l’atelier de René Milone et de Linda son épouse qui l’assiste dans son travail. Ils sont installés au Québec mais je soupçonne René d’avoir un accent du midi de la France…tandis que Linda semble plutôt du « Grand Nord » comme on dit ici.

Récemment, René a peint aux falaises d’Etretat.

René est prof de peinture et ses vidéos sont très bien faites. On peut s’abonner à ses cours en ligne si on le souhaite.

Mais je vais aussi sur d’autres sites:

Neudingen

acrylique sur toile 50×40

Pas de sport!

acrylique sur toile 30×40

Je suis devenu timoré. J’hésite à sortir en raison du temps. En Alsace, il fait largement en-dessous de zéro, le verglas et la neige recouvrent les chemins et les chaussées secondaires. Alors ni vélo, ni course à pied. L’idée même de pédaler dans le garage? non, ça ne me motive pas. J’ai regardé les tapis de course, il faut compter dans les 300 euros en prix d’appel…sinon il faut aller dans une salle de sport. 9 euros de l’heure, je suis radin.

Je me réfugie dans ma peinture.

Aujourd’hui un paysage de neige. Je ne le considère pas réussi pour plusieurs raisons dont l’erreur la plus fondamentale est qu’on ne place pas son sujet dans l’axe du tableau.

Une erreur de débutant. Et pourtant je l’ai commise.

Je ne parle pas du reste de la même tonalité.

Je n’ai qu’une excuse, la neige n’est pas facile à restituer

Geishouse

J’ai commencé comme ça. Avec une toile 40×50 (10F).

Revêtue de Gesso.

C’est Geishouse après l’école direction Saint-Amarin

Trois couleurs primaires, bleu, jaune, rouge, du noir et du blanc. Mon tracé est un peu fort et je vais avoir du mal à masquer le bleu. Je m’en souviendrai.

Je commence en haut comme à l’aquarelle. C’est l’automne et je me demande comment m’y retrouver dans cet océan de marron.

Ensuite les toits. Ne pas les faire tous pareils et ne pas sortir de la teinte.

Finalement j’arrive à la fin. La fin, c’est les détails où je ne suis pas orfèvre et les contrastes qui vont « donner du relief » « à la toile. Sinon, c’est plat.

Sentheim

acrylique sur toile 8F (46×38)

Barville

acrylique sur carton 38×28

Chalet Zuber

acrylique sur toile 40×30

Le chalet Zuber est situé en haut de Thann non loin du col de Teufelsgrund.

Mal signalé, je me trompe parfois. Belle vue par beau temps sur la vallée.

La Grande Motte

acylique carton 40×30

Triade de Michelbach

C’est une peinture relookée à partir de celle de 2020. C’est donc un exercice pour moi qui consiste à tenter une autre interprétation à partir de trois couleurs, la triade du vert, violet et orangé

Saint-Dizier

acrylique sur toile 8F

Chapelle Deckwiller

acrylique sur carton toilé 40×30
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