Cette peinture est à gagner et ne comporte aucune obligation d’achat. Elle n’est pas encore sèche (frais de port non compris)
Il suffit de localiser les six images suivantes qui sont toutes extraites du blog Vélomaxou.
Le gagnant sera le premier à donner l’ensemble des bonnes réponses dans les commentaires. Mieux vaut s’assurer de donner l’ensemble des réponses en une seule fois plutôt qu’une par une…
La polémique resurgit périodiquement. Faut-il oui ou non fermer la route des Crêtes Vosgiennes à la circulation routière?
Cet été nouvel accès de fièvre de nos politiques locaux peut-être en mal d’un sujet bien clivant capable de déterrer la hache de guerre en pleine torpeur estivale parmi les deux camps. Celui des opposants à la fermeture et celui des pro-fermeture.
Un peu d’histoire
Cette route a été édifiée pour des besoins militaires afin d’acheminer des troupes et du matériel lors du conflit de 1914. Elle était même une ligne frontière entre la France et l’Allemagne après 1870.
Mais depuis, redevenue française à part entière, la route des Crêtes est un itinéraire de paix où les touristes, dont beaucoup d’Allemands, s’adonnent à de belles balades depuis la Schlucht jusqu’à Uffholtz vers le sud et de la Schlucht jusqu’à Saint-Marie -aux-Mines vers le nord. Soit 88 km.
Fermée en deux endroits l’hiver, accessible en tout temps le reste de l’année.
Alors où est le problème?
Le problème réside dans le fait que le massif traversé est un parc régional, le Parc Naturel Régional des Ballons des Vosges et sa charte qui vise à assurer durablement la protection, la valorisation et le développement harmonieux de son territoire. Connu pour sa préservation des patrimoines, il contribue aussi au dynamisme économique. Plus au nord, il existe aussi le Parc Naturel Régional des Vosges du Nord (PNRVN) moins concerné.
Or d’année en année, l’économique prend le pas sur la préservation et la protection de la nature.
On parle aujourd’hui de surtourisme ça et là comme au Mont-Saint-Michel ou dans les calanques de Marseille.
La parade trouvée pour moins déranger le parc, c’est soit de limiter les accès, soit d’instaurer un péage soit tout simplement d’interdire le transit à tous les véhicules motorisés. Car ce qui est cause c’est bien l’usage des moyens motorisés, même si la surmarche est aussi un réel problème.
SOS NATURE VOSGES en pôle position pour l’interdiction
Agitateur public, l’association SOS NATURE VOSGES boit du petit-lait lorsqu’elle entend les politiques s’emparer du sujet de la route des Crêtes alors qu’elle même milite depuis des années pour restreindre la circulation sur la route sans rien obtenir de concret que de vagues contrôles de vitesse des motards quand la saison d’été approche.
Mon avis
Bien évidemment, fermes-auberges, restaurant, tous acteurs économiques sont vent debout contre toute restriction qui leur ferait perdre une clientèle attitrée comme celle des motards. Ensuite les motards, toujours en colère, s’insurgent contre un projet qui viserait à les empêcher de se servir de cette route comme celui d’un anneau de vitesse. Enfin viennent les habitués motorisés de la route des Crêtes qui l’empruntent pour marcher ensuite sur mes cimes ou pour déguster un repas marcaire copieux avant de redescendre dans la vallée et enfin, chose inimaginable dans un parc régional, des camping-cars qui bivouaquent en toute impunité là où bon leur semble au Markstein, voire même carrément au Grand Ballon.
Ce qui au total fait beaucoup de monde mécontent d’une telle éventualité de réglementer les accès.
Il reste une quantité négligeable de gens pro-réglementation:
les écologistes « pur sucre » qui font un principe de l’interdiction
les marcheurs courageux, sauf que le Club Vosgien reste très discret sur la question de crainte de mécontenter ses membres fervents habitués à se rassembler en 4×4 dans les refuges comme au Molkenrain
les naturalistes au sens large animaliers, forestiers, entomologistes,…
certains cyclistes (pas tous) dont moi.
Vous l’aurez compris, la thrombose touristique n’est pas prête de s’arrêter demain.
D’autant que les politiques vosgiens ne veulent en aucun cas qu’on les prive de grimper au Hohneck à leur guise, leur sommet mythique, en partant de la Schlucht ou de la route dite des Américains.
Coté vélo, il est prêt. J’ai encore une opération à mener: un essai de voisinage « à blanc » vélo chargé, sacoches chargées d’eau…et vérifier que mon poste de conduite est confortable.
Mon projet de vacances à vélo avance doucement. Ce sera 10 à 12 jours en août.
J’ai disposé une petite table sur laquelle j’accumule des objets en vue de mon départ. Ma méthode est identique aux années précédentes. Un poids global de 102 kg dont je suis le principal acteur.
Mais l’itinéraire reste en suspens.
1/J’ai d’abord imaginé un tour des Vosges (le département) et on m’y a même encouragé. Un projet qui date de 2020. C’est dire si je suis prévoyant
2/Puis j’ai inventé un tour du Luxembourg en passant par l’Allemagne et en passant par la Lorraine avec mes sabots mon vélo
3/ Et maintenant, je me prête à rêver à un tour du lac de Constance
Je suis déjà allé à Freiburg, à Donau à vélo…mis Constance, j’en frissonne déjà
Cette vidéo date d’un an. Antenne MBF Massif des Vosges vient justement de la signaler sur Facebook.
A mon avis, cette vidéo a un mérite, c’est qu’elle fait le point de la situation de façon modérée en expliquant la problématique des différents usagers qui se côtoient sur le massif et les situations potentiellement conflictuelles qui peuvent y naître.
En tant que cycliste et vététiste, j’ai deux approches distinctes.
Sur le plan routier, j’évite de grimper sur cette route les jours de grande affluence, particulièrement l’été et les week-end. Je préfère laisser l’espace aux autres usagers. Cette forme d’auto-régulation ne peut donc être que profitable aux autres.
S’agissant du VTT, je pratique la plupart du temps seul mes randonnées et je ne m’interdis rien, je passe où bon me semble et je laisse le passage aux promeneurs.
S’agissant de l’enduro, du VTT de descente rapide, il est préférable de l’inscrire dans des circuits dédiés, sinon les chemins seront vite érodés.
Pour les motos, les autos et les camping-cars, j’ai un avis radical et indéfendable: tronçonner la route des Crêtes…et la rendre définitivement à la nature.
7 cols qui seront donc exceptionnellement fermés à la circulation motorisée– 1 journée par col – et réservés à ceux qui souhaitent franchir le col à vélo, VTC ou vélo à assistance électrique :
La Planche-des-Belles-Filles, le 26 Juin au départ de Plancher-les-Mines de 8h à 12h
Le Col du Calvaire – Lac Blanc, le 3 Juillet au départ d’Orbey de 9h à 12h
Le Ballon d’Alsace, le 24 Juillet au départ de Saint-Maurice-sur-Moselle de 9h à 14h
Le Col du Valsberg, le 31 Juillet au départ d’Obersteigen de 9h à 17h
Le Col de Fouchy, le 28 août aux départs de Rombach-le-Franc et Fouchy de 9h à 18h
Le Col du Hundsruck, le 4 Septembre aux départs de Bitschwiller-Les-Thann et Bourbach-le-Haut de 9h à 17h
Le Col Amic, le 11 Septembre au départ de Soultz, de 9h à 18h.
Au moins cinquante participants s’étaient réunis dès sept heures trente afin d’apporter leurs efforts à la consolidation d’un chemin reliant Wattwiller au sommet du Molkenrain…dont certains venus de Gérardmer et de Saverne.
On notait aussi une délégation du club VTT de Thann.
Les organisateurs ont été un peu surpris par le succès de participation au point que les cinq chantiers prévus ont été accomplis en moins de temps que prévu.
Des chantiers pourtant conséquents puisqu’il s’agissait de doubler les trajectoires circulaires afin que marcheurs et cyclistes disposent chacun de leur propre itinéraire.
Les municipalités de Wattwiller et Uffholtz s’étaient associées à la démarche en fournissant une logistique éprouvée… et notamment la pause café et l’apéritif de fin de travaux.
Les maires des deux localités, Matthieu Ermel et Rémi Duchêne, sont venus féliciter les participants à l’issue de la matinée.
L’arithmétique d’enregistrement de mes cols franchis à vélo est une gymnastique du lendemain devant son ordi. Il ne faut pas en oublier dès lors qu’on se plie à la règle du jeu. C’est une chose futile dont on pourrait se passer. Soit!
Mais c’est une révision, une façon de revisiter sa route et pourquoi pas de s’émerveiller qu’on ait pu le faire alors même que les difficultés se renforcent année après année.
Ajouter deux fois le même col sans le faire exprès parce qu’on a déjà été par là il y a longtemps? impossible! L’informatique du club des Cent Cols veille.
Mais déclarer un col qu’on n’a pas réellement franchi, ça c’est une tricherie avec soi-même. Je m’en garderais bien. Sinon le charme serait rompu. Passer à dix mètres d’un point géographique, c’est discutable. Il y a des puristes, surtout si le panneau n’existe pas. Je ne tombe pas dans de genre d’excès. Un col c’est un point sur un cheminement humain ou de mulet. Alors n’exagérons rien!
Voici donc ma liste déposée pour ces trois journées passées à VTT dans les Vosges du Nord.
Ils sont au nombre de 21. C’est l’occasion de revoir les toponymes de ces points culminants de grimpées. Des noms évocateurs d’histoire et parcourus par des générations de voyageurs pédestres, de travailleurs agraires ou sylvicoles ou de chasseurs
Il me reste encore 103 cols à gravir dans le nord vosgien. Un terrain de jeu à portée de main si par mésaventure nous devons encore être confinés territorialement ces prochaines semaines.
103 cols, ce n’est pas rien. Avec leur éparpillement, il n’est pas facile de les cueillir tous à la fois.
Souvenons-nous, l’année passée en mai, nous étions limités à 100km.
Avant de partir en voyage, il est utile de bien organiser ses parcours afin qu’ils soient les plus productifs possibles tout en restant dans les limites de ses capacités sportives.
Trois jours de séjour VTT entre Abreschviller et Schirmeck aux confins des Vosges, de la Moselle et du Bas-Rhin.
Quelques cols à ratisser mais surtout le privilège de découvrir le terroir de randonnées de nos voisins. Non le Covid-19 n’a pas dissuadé cet irrépressible besoin des amoureux de nature de se rencontrer au cœur de l’immense massif de la forêt vosgienne.
Des marcheurs, des cyclistes, mais aussi des motards avec lesquels il faut composer. Comme toujours. La sociologie du motard est à part et en même temps elle incarne une passion pour le sport motorisé dépourvue de toute considération écologique. Évidemment ça fait tache dans le paysage. On se rassemble au col au tour d’un barbecue géant et l’on fait bombance. Les motards me rappellent un peu sous certains aspects les chasseurs.
Passons!
Il faut que j’en vienne à ma comptabilité notariale, celle des cols. Car comme vous le savez, au Club des Cent Cols, on compte ses nouveaux cols franchis à vélo.
J’ai commencé en 2009 grâce à des amis mulhousiens (que je remercie) à compter mes cols, à rassembler sur une liste 103 cols dont cinq à plus de 2000 mètres. Pour postuler au club, il faut présenter une liste de 100 cols au moins dont 5 à plus de 2000 mètres d’altitude.
Et après?
Après on se pique au jeu qui est d’une absurdité maléfique puisque chaque année on veut faire mieux. Le problème, c’est que quand vous avez ratissé tous les cols autour de chez vous, il vous faut ratisser de plus en plus large, organiser des raids toujours plus loin avec des moyens motorisés plus guère dans l’air du temps. Aller faire des cols sur la Cordillère des Andes, non! Je sais qu’il y en a qui se prête à ce jeu…
En 2019, dix ans plus tard, j’affiche 1216 cols dont 99 à plus de 2000 mètres.
Comme ce sacré virus Covid-19 a gravement compromis nos projets, il faut se contenter pour l’heure des cols vosgiens. Il m’en reste au nord. J’en ai gravi 22 au cours de ces trois derniers jours.
Je voyage seul pour cette fois sur mes circuits et j’en profite pour découvrir tous ces vestiges historiques de la Grande Guerre et même une Voie Romaine datant de 2000 ans.
J’ai coutume de la dire: franchir des cols à vélo est un alibi pour voir des paysages sans cesse renouvelés puisque le but du jeu est d’aller là où nous ne sommes pas encore allés.
Voici le détail de mes parcours. Faire attention à ce que parfois mon itinéraire n’est pas le meilleur car tous les chemins ne se valent pas dans la forêt; certains sont en mauvais état du fait des débardages (la seule gamelle que je me suis pris, c’est justement en tentant de franchir une ornière d’engin, je tombe presque à l’arrêt quand le vélo butte et que je n’ai pas assez de peps pour passer en force, ça fait boum quand on tombe sur le coté. On se demande si tout remarche et on galère pour se relever le pied pendu dans la cale). D’autres chemins sont difficilement praticables car abandonnés,…attention dans les descentes caillouteuses aux pierres qui peuvent se trouver sur votre trajectoire. Pensez aussi à bien négocier les rigoles transversales. Si vous coincez une roue dans la rigole, l’éjection brutale est assurée et peut-être dramatique si vous cognez avec la face. Seul il faut toujours redoubler de précaution! C’est le prix de la solitude.
Le soir, retirer les tiques qui ont pu s’accrocher à vous (jambes, bras et cou). Elles ont parfois la taille d’une tête d’épingle.
Journée agréable à VTT. Parti de Walscheid (Moselle) tôt pour éviter la chaleur. Huit à neuf cols au programme. Ces Petites Vosges sont agréables avec chemins et vicinales goudronnées qui alternent.
Avec ce maudit déconfinement reconfiguré en confinement élargi à 100 kilomètres, comment reprendre sa saison cycliste?
Chacun innove comme il peut. On a fait « tourner nos jambes » sur un home-trainer ou on a fait du jogging comme moi en attendant…et maintenant?
Celui qui n’a pas touché son vélo depuis deux mois va devoir tout reprendre à zéro à condition que le temps se mette au beau fixe, sinon la motivation sera difficile.
En attendant, pas question d’aller au-delà des limites imparties…j’ai donc entrepris d’aller franchir quelques cols muletiers vosgiens en dessous-de Sarrebourg. Sarrebourg, c’est ma limite 100 km.
Plus exactement, j’irai autour du Donon.
J’ai donc pris la liste de mes cols à gravir et j’ai bâti trois parcours. Je travaille avec Base Camp, l’outil de Garmin et aussi avec Openrunner. Je trace des segments de col à col et je laisse faire l’automate de tracé d’itinéraire.
Puis j’observe la distance et le relief et ses dénivelés pour voir si c’est faisable. Je ne vais pas m’aventurer dans des trucs de « ouf », je veux rentrer le soir en bon état.
Je pars donc avec une trace sur GPS et une sauvegarde Openrunner.
L’avantage d’avoir une trace Openrruner, c’est que je peux toujours récupérer mon circuit en ligne si j’ai une panne GPS. Jamais de cartes IGN en VTT, beaucoup trop incommode!
Quand vous avez bien préparé votre parcours sur plan, vous avez fait 80% du travail et une fois sur site il vous reste 20% où vous n’avez plus qu’à pédaler.
Je pars de Lepuix et je grimpe le long de la Savoureuse en direction du Ballon d’Alsace.
Je passe devant la Roche du Cerf, je traverse les gouttes du Lys, Boileau, des Oeillets sans même être mouillé!
Après 6.5km sur la RD 485, je quitte à gauche pour prendre le Rummel. Et je poursuis jusqu’à l’Etang des Roseaux à la cote 863.
Il reste encore un peu à grimper jusqu’au Refuge de la Grande Goutte à l’altitude 1020. Ensuite je me maintiens sur la crête en contournant la Tête des Fougères. Je suis sur le GR533.
J’aboutis au téléski du Chalet. Face à moi le raidard qui affole les coureurs du Tour de France. Une fois en haut, je me faufile dans un single rond rouge jusqu’à la Roche Fendue. Puis je dégringole le Querty.
Je prends le chemin forestier losange vert qui traverse la Goutte Guillaume et je me laisse descendre par le Pré Colin et le Pré Montendon jusquà Chauveroche le long du ruisseau des Belles Filles.
J’arrive à Lepuix par la scierie municipale. 27km/800m
T’en fais trop m’a dit Alain rencontré hier au Grand Ballon.
Vélomaxou en ferait trop?
Ni plus ni plus moins que l’année précédente, pensais-je, en redescendant du col Amic.
Je lui ai fait part de mes doutes d’atteindre 70 ans en toute plénitude comme pour excuser ma soif de montagne et tenter de justifier une fuite en avant involontaire.
Lui qui est un exemple pour nous tous a ressenti un coup de moins bien autour de…72ans, puis il est reparti de plus belle sur nos routes de montagne vosgienne.
J’ai donc encore un sursis!
Cependant, ce matin, j’ai eu un doute.
Les stakhanovistes de la moulinette en savent quelque chose, ils veulent ne rien oublier de leur palmarès.
Conteur public, compteur privé, tout est consigné dans un coin.
Je ne déroge pas à la tradition.
Kilomètres à plat, kilomètres en montée, oui j’ai tout cela aussi.
Sous le manteau.
Pour ne pas rougir devant les professionnels du voyage à vélo, ceux qui peinent à s’arrêter, ceux qui trouent les cuissards et rapiècent les boyaux, je compte en douce.
Bon, nous ne saurons rien, rien qui puisse mettre en cause cette qualité de cycliste authentique que nous revendiquons tous.
Il n’y aura pas de tromperie sur la marchandise, chacun va « à sa main » là où il veut, quand il veut, à la vitesse qu’il souhaite.
Sauf qu’à fin juin, j’ai déjà dépassé mon score de grimpée de 2017.
Fastoche: avec 9000 mètres de VTT à Argelès en avril et 10.000 mètres de vélo à sacoche en mai pour aller à Valjoly, j’avais pris deux longueurs hauteurs d’avance sur l’année en cours. (Pour un néophyte du voyage à sacoche, boucler 1000 mètres de dénivelée chaque jour est une épreuve en soi)
Mon insatisfaction lors des grimpées s’expliqueraient donc par un excès, un surplus de montées à mon corps défendant et que je n’aurais pas voulu?
J’ai abandonné mon deux-roues le temps d’une escapade minière du coté de Wegscheid , après Masevaux le long de la vallée de la Doller. Continuer à lire … « Les potins du lundi »
Depuis que je me suis mis au VTT, j’ai croqué à pleines dents dans le massif vosgien.
J’ai réuni pour vous une quarantaine de parcours qui pourront vous plaire si vous pratiquez le vélo-tourisme, celui où l’on s’arrête pour admirer le paysage, comprendre l’origine des toponymes et peut-être vouloir en savoir plus une fois rentré le soir. Continuer à lire … « Mes Vosges à VTT, recueil de parcours »
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Les Alsaciens se réveillent ce matin avec la gueule de bois.
Des Dauphines Gordini
Tandis que notre quatrième Dauphine rentrait en voiture du concours de Miss France, ses compatriotes alsaciens manifestaient dans les rues de Mulhouse en criant « Paris, nous n’avons pas besoin de toi ».