
Je m’arrête de temps en temps.
Et je photographie.
Pédaler pendant des heures, à quoi bon si on ne profite pas du paysage.
Oui, je m’arrête le long de ces grandes Voies Vertes où d’autres pédalent comme des chiens dératés.
Et je travaille mon plan en fonction du soleil, de l’ombre.
Nul besoin d’appareil lourd et compliqué sur le vélo.
La profondeur de champ attendra.
Puis je repars.


