Oui, les plus aguerris diront « bof, Osenbach-Bannstein, c’est
d’une banalité qu’il n’est même pas la peine d’en parler! »
Eh bien, moi, cette banalité là, je la trouve toujours
difficile.
Peut-être qu’avec l’âge?…
Ou le vent fort qui nous épuise avant de rejoindre
Soultzmatt?…
Ou encore le train mené par le copain du devant?…
Ou encore pour ne pas montrer à celui qui est derrière qu’on est
« à la dérive »?…
Bref, dès la mi mars, les cardio s’envolent et atteignent déjà
des sommets!
Il va falloir se calmer surtout que le temps frais éprouve
encore les organismes.
On se dit que demain, on ne fera plus d’excès et qu’on roulera
cool…
Enfin, je confirme pour ceux qui en doutent encore: le vélo,
c’est dur!


