Finalement cette course à la
quincaillerie de Montréal n’est plus ni moins qu’un alibi.
Pour sortir sa bécane et « aller jouer dehors« .
Cette quincaillerie là, c’est tout simplement comme un gros
Castorama de Kingersheim d’où l’on repart en
ayant oublié la moitié de ses courses.
Une course qui nous conduira dans les rues tortueuses évitant
les grands axes d’Illzach, parfois dans une voie sans
issue et d’autres fois le long d’itinéraires improbables.
Retrouvez « la dimension ludique de l’ordinaire du
quotidien » de Suzanne dans Urbanista.


