Quoi de plus normal (un terme à la mode) pour Marianne, l’hebdo, de consacrer son éditorial au Tour de France et à ses débordements. C’est dire si le sujet conserve un intérêt national après la destitution fracassante d’Armstrong.
Sous la plume de Jacques Julliard, Marianne revient sur les soubresauts qui secouent la grande boucle où le vainqueur semble être désormais « celui qui ne s’est pas fait prendre ».
Regrettant presque « le salage de soupe à l’ancienne », le chroniqueur constate avec amertume que « les nouveaux champions gèrent leur affaire comme des diplômés en marketing… tout en cassant quelque chose dans l’inconscient national ». Continuer à lire … « Marianne et le Tour »

L’annulation du marathon de New-York à deux jours de son coup de départ risque de laisser un goût amer à tous ceux, ils sont 47.000, qui ont réservé avions et hôtels depuis des mois.