Le vélo électrique, nouvel acteur du marché


VAE, trois lettres signifiant Vélo à Assistance Electrique. Autour de ces trois lettres, la galaxie cycliste commence à s’échauffer. Venu d’une idée toute bête « le vélo, c’est fatiguant », les constructeurs ont flairé le bon coup: pourquoi ne pas développer une assistance électrique et fabriquer un engin à mi-chemin entre le vélo et la mobylette?

Avec 100.000 vélos vendus en 2015, le marché du VAE français se porte bien.

Si bien que les centres autos, comme Norauto, commencent à capter près de 10% des ventes du VAE.

Tant mieux si le vélo à assistance attire de nouveaux adeptes.

C’est toujours moins de pollution en ville et à la campagne.

Pas de cocoricos intempestifs: quand il se vend un vélo électrique en France, il s’en vend… huit en Allemagne.

Les Allemands seraient donc beaucoup plus ouverts à ce nouveau type de moyen de déplacement.

Le marché du vélo de course n’est pas mort pour autant: il génère à lui seul un chiffre d’affaires de 205 millions d’euros (1300 euros en moyenne par bicyclette vendue) qui témoigne de la vivacité de la bicyclette de sport.

Outre le vélo de course et le vélo électrique, le VTT reste le leader des ventes avec 297 millions d’euros (moy.344 euros/vélo)

Un bémol cependant, le vélo de ville semble absent des statistiques tant sa diffusion reste restreinte…ce n’est pas bon signe.

On pourra tout lire dans les Echos.fr

 

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