
A La Turballe, j’ai déambulé le long du port.
Le bouquiniste Etienne Anclin m’en a demandé trois euros et j’ai traversé la rue jusqu’au quai m’assoir sur la banquette au soleil.
Pas de vélo dans l’histoire, juste un cabo-chef qui rentre tous les soirs chez lui (un planqué, quoi!) de la caserne sur sa mobylette à guidon chromé et niveau d’huile apparent.
C’est l’histoire d’un mec qui veut se faire passer P4, ce bouquin de Perec.
Eux, c’était encore l’Algérie en 62, nous le Tchad à la 72/8.
C’est pour les ceusses qui ont connu l’armée, le ch’uis d’semaine, les chambrées, les guêtres, le pèrecent, les combienktupètesaujus?, les troubads, les faireletrou, les faire’lgrillage, les perm 36 et les 72 et les ASM le lundi (absent sans motif).
Temps de lecture 1 heure en regardant les mouettes.