
C’est subjectif de dire parcours pas beau.
Parmi mes confrères, il en est qui ne se préoccupent pas de la beauté du parcours mais plutôt de son aspect sportif. Mais moi lorsque je grimpe sur le massif, j’apprécie en contrepartie de l’effort fourni d’avoir en plus de belles images et si possible de ne pas devoir faire la descente à pied.
Aujourd’hui, manque de chance. J’ai poussé le vélo à partir de Rammersmatt jusqu’au chalet de Hochburg. Ceux qui connaissent le coin savent que la montée est un dédale de pierres pentu.

Puis au Hochburg, j’ai choisi Weierlé. Plusieurs fois je me suis arrêté soit parce que j’avais un tronc d’arbre en travers, soit parce que je n’avais pas « l’influx » pour passer en single sur des racines et des rochers.

Puis le col de Teufelsgrund. Là aussi je n’ai plus la force d’affronter le single. Trop scabreux pour moi car j’apprécie la dangerosité d’une chute avant de tomber. C’est mieux ainsi.
Au col de Teufelsgrund, je prends Thann. Un sentier pourri au lieu-dit Kurrenburg qui se termine par l’ermitage du frère Fernand
Sinon grimpée à Rammersmatt par Leimbach en passant par le pompage, à Rammersmatt, la rue Bellevue est aussi une belle épreuve (15%)

