En sport collectif, on parle parfois de la troisième mi-temps de façon imagée pour décrire les libations d’une victoire ou pour oublier une défaite cuisante.
Une troisième mi-temps qui parfois s’éternise alors que l’arbitre n’est plus là pour siffler la fin de la partie.
Chez les cyclos, la troisième mi-temps existe aussi.

Y’a un hic au ouic-haine