Ils ont en commun avec les cyclistes d’apprécier la
quiétude.
Même s’ils ne détestent pas de nous croquer de temps
à autre les mollets, ils sont paisiblement
installés dans la cour ou le jardin attendant le retour de
leur maître.
Ils sont souvent dans la journée les seuls occupants des
villages éloignés à manifester leur
présence.
Si un cycliste silencieux vient à passer par là, il
est surpris de cette incongruité et réagit en aboyant
pour bien montrer qu’on le dérange et qu’il est le gardien
des lieux. D’autres, comme celui-là, semblent plutôt
montrer une crainte diffuse devant cet intrus casqué qui le
vise à l’objectif alors que nul patron ne sera là
pour le défendre.
Quelle vie de chien!