Vente de jupes hier à Paris au profit de l’association « ni
putes, ni soumises ».
Isabelle Adjani a vendu une de ses jupes 1000 euros.
Le bénéfice des ventes sera affecté à la location de
logements-relais pour les femmes battues.
C’est le scoop du jour.
Quoi de plus banal que de monter soi-même des garde-boues?
Trois heures de main-d’oeuvre pour un néophyte comme moi.
Il faut ajuster la longueur des tringles théoriquement prévues
pour des pneus 26 pouces.
Les raccourcir de 2 cm pour bien épouser le pneu sans pouvoir
passer la main entre la roue et le Bluemels.
Commencer par l’avant, en principe le plus simple.
Et garder les vis démontées…elles pourront servir.
A l’arrière, fixer le feu rouge en n’oubliant pas que la vis de
fixation sert de masse électrique et qu’elle doit faire contact
avec le berceau support métallique du garde boue relié lui-même à
une tringle et au cadre.
Arrêter de chercher la vis qui est tombée dans le garage!
Une vieille vis fera l’affaire, sinon vous allez manger le
bénéfice!
Redémonter!
« Les chats dehors! c’est pas l’heure du canigou
ronron. »
Vous avez oublié de percer un trou pour la patte de fixation
entre les haubans.
Qui? moi?
Oui, vous!
On est trop loin du pneu, vous le voyez bien en remontant la
roue et après avoir gonflé le gros Schwalbe qui ne passe pas entre
les mâchoires de frein…fabriquer une équerre pour se
rapprocher…
Ressortir la perceuse…Pas entre les doigts, l’équerre. Dans
l’étau!
Et les bavures?
Quoi les bavures?…
Une mêche plus grosse pour ébavurer.Pas les doigts!
Oh, ça va!
Si t’es pas content, t’avais qu’a le faire faire!…
Bon, ça y est!
Pas mal, la roue bien enveloppée; je ne devrais plus avoir de
projections latérales par temps de pluie.
Un coup de balai….
Tiens,…un joint caoutchouc…c’est celui du feu rouge.
Trop tard, je ne redémonte plus.
Et ça, c’est quoi?…
Ma vis que j’ai perdue.
Elle ira au Panthéon de mes objets trouvés.
Bluemels SKS pour pneu 26 pouces jusqu’à
2.10, vendu 28 euros.
Joli aluminium revêtu de plastique
brillant.
Notice en allemand et en
anglais
Camelbak sans bisphenol
Nos bidons sont largement sollicités par ces temps
caniculaires.
On en a de toutes tailles; ceux pour la matinée et ceux pour les
grands raids.
Il faut évidemment les débarrasser au retour de balade de toutes
les impuretés qui se développent à partir du glucose: des
moisissures toxiques et des bactéries qui se logent aussi dans le
bouchon valve.
Il faut donc démonter ce bouchon qui est un nid idéal pour les
saletés et le nettoyer.
Depuis que les pouvoirs publics viennent d’interdire les
biberons contenant du bisphénol A accusés d’être toxiques
en migrant dans le lait, beaucoup d’autres contenants alimentaires
semblent être aussi concernés…
La matière de nos bidons est-elle toxique?
La plupart sont en Polyéthylène Basse Densité (Low Density Polyethylene) .
On trouve au dos de ces bidons cette inscription: LDPE
On doit trouver aussi ce symbole qui signifie que le matériau
est apte à entrer en contact avec des produits alimentaires:
Si votre bidon ne comporte pas ce signe: méfiance!
On ne sait d’ailleurs pas si ce symbole
suffit à garantir que notre bidon en polyéthylène ne contient pas
de phtalates toxiques utilisés encore massivement pour assouplir
les matériaux.
Les pays asiatiques utilisent encore
massivement le phtalate dans leurs fabrications; c’est pourquoi si
votre bidon est marqué made in Taïwan (comme ceux de la
firmeTrekbikes) ou si comme ceux de DECATHLON, l’origine n’est pas
mentionnée, méfiance encore!
Si un chiffre au centre d’un triangle apparait

Se reporter à cette table
Le chiffre 4 semble indiquer que le matériau n’est pas
toxique.
En attendant de plus amples informations, il est conseillé de
remplacer ses bidons tous les ans et de ne pas les nettoyer avec
des détergeants agressifs qui pourraient détériorer le polyéthylène
et le rendre toxique.
En tous cas, les bidons garantis sans bisphénol A vont devenir
un argument de vente comme chez rue du Vélo
J’ajoute que la firme ZEFAL, bien connue du milieu
cycliste, mentionne à présent que ses bidons ne contiennent « ni
bisphénol A, ni phtalate ».
Voila qui est clair!
La banque Crédit Mutuel vient d’accomplir « sa
révolution » en rachetant la totalité des parts du journal l’Est
Républicain, le dernier journal qui manquait à son trophée de
chasse.
Ce rachat est « un mauvais présage pour l’emploi dans les
entreprises comme pour le pluralisme de l’information« , selon
le Syndicat national des Journalistes (SNJ).
En une phrase, tout est dit.
L’information, la communication, les blogueurs en raffolent.
La plupart sont des amateurs à la fois lecteurs et
rédacteurs.
Ils sont, à leur manière, de petits vecteurs d’opinions.
A leurs cotés, la Presse professionnelle.
Une presse de journalistes?
Oui! mais pour combien de temps encore?
Une Presse de plus en plus formatée et monocolore entre les
mains de magnats.
Ainsi, aujourd’hui, la totalité de la Presse régionale
quotidienne de l’Est de la France est entre les mains d’un
banquier: le Crédit Mutuel.
Les Dernières Nouvelles d’Alsace, l’Alsace, Vosges Matin, le
Républicain Lorrain, le Journal de la Haute-Marne, le Bien Public,
le Journal de la Saône et Loire, le Progrès, le Dauphiné
Libéré, tout appartient dorénavant au Crédit Mutuel.
Ne nous trompons-pas, l’uniformité et l’angle d’attaque de
l’information est déjà en marche depuis longtemps dans la Presse
écrite régionale.
Le dernier exemple en date est bien le traitement qui a été
réservé par l’ensemble des journaux de l’Est au Rallye de
France automobile dont le pricipal sponsor était….le Crédit
Mutuel.
Un traitement univoque entièrement tourné vers l’automobile et
sa mascotte Sébastien Loeb. Sans aucun esprit critique parmi les
journalistes pour éclairer la face obscure de ce show
médiatique.
Des journalistes déjà aux ordres?
Comment pourrait-il en être autrement?