Pour ne plus perdre ses roues…

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Zefal

Vos roues ont tendance à disparaître pendant que vous faites une
course… Comme ça, par hasard, elles décident de « se faire la
valise »!

Un bon antivol en U ne suffit pas à immobiliser votre vélo, si
vos roues sont équipées de tirants à blocage rapide…Il faut donc
aussi les rendre « imperdables » ainsi que la selle.

Certains fabricants ont donc inventé des antivols pour les roues et la selle.

Mais s’il suffit d’un clé alène pour vous piquer vos roues
(modèle Zefal en illustration ci-dessus), quel intérêt?
surtout qu’une clé alène, on la trouve facilement dans tous les
cartons de meubles à monter soi-même!

Un fabricant a donc inventé ça…Blog de velomaxou : Vélomaxou, le blog d'un cyclo mulhousien, Pour ne plus perdre ses roues...

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différence entre la clé antivol à 5 pans et
la clé alène à six pans

…une clé spéciale à 5 pans, difficile à imiter et qu’il ne
faut pas… perdre!

B’twin 13 euros

Bébé pas bienvenu…à la RATP

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On savait déjà que les transports parisiens manquaient de
place.

La plus grande place en surface étant tenue par les voitures
particulières et les camionnettes, il reste les transports en
commun.

En surface, les bus parisiens doivent transporter le plus de
monde possible.

Il faut donc « compacter ».

C’est tout le sens de cette affiche.

Les bébés qui voudraient échapper à cette règle en restant bien
au chaud dans leurs poussettes sont priés de rester sur le
trottoir!

Cette campagne maladroite qui vise en fait les familles n’est
pas du meilleur aloi pour une entreprise publique.

Certes, entrer dans un bus, plier la poussette tout en tenant
bébé dans ses bras, c’est un geste facile à réaliser pour les
concepteurs de cette campagne!…

 

 

Quadra, quinqua, sexa…et même septua!

Quadra, quinqua, sexa,…et même septua!

Des dizaines qui comptent…

C’est qu’atteindre « le bel âge » n’est pas donné à tout le monde.

Les cyclistes n’échappent pas à cette règle.

Hélas!

Notre société ne se prive d’ailleurs pas de souligner dans les libelles des journaux ces « vieux en devenir » dans la rubrique des faits-divers:

–  « un cycliste quinquagénaire renversé par une
voiture… »,

« une sexagénaire victime d’une chute à vélo… »

Cette stigmatisation des citoyens à partir de quarante ans
confirme nos clivages.

Comment le dire?

Ces affligeants qualificatifs dans la Presse locale témoignent
d’un embarras: comment nommer autrement une personne qui se fait renverser sur son vélo?…et puis, d’abord, que faisait cette sexagénaire sur un vélo?…

A partir de quarante ans, l’âge devient un facteur d’exclusion et devient à tout le moins suspect!

Nos jeunes journalistes « localiers » ne devraient-ils pas de temps à autre se déplacer à vélo et faire des stages dans les maisons de retraite? Rien que pour apprendre à considérer leurs
semblables autrement que par l’âge!

Autant de clichés absurdes qui font tant de torts au « vivre ensemble ».

On ne s’étonnera donc pas qu’entre jeunes et moins jeunes, le fléau de la balance est si ténu que plus personne, au milieu, ne trouve une place stable.

Trop jeune ou trop âgé?

Parfois les deux à la fois.