Par les temps qui courent, il faut rester couvert.
Si le port du casque sur route est devenu une banalité, il n’en
est pas de même en ville.
Pourtant, outre que le casque est un équipement de sécurité en
cas de chute, il nous protège aussi des intempéries et du
froid.
Il reste que le casque en ville est embarrassant dès lors qu’on
quitte son vélo: il faut alors soit l’attacher soit l’emporter avec
soi!…
L’autre handicap, c’est le look!
Beaucoup rechignent à porter le casque pour des questions
esthétiques…
Les fabricants commencent à proposer des modèles adaptés à la
ville sans pour autant ressembler à un coureur de compétition.
Cyclurba a fait l’essai de 6 modèles…
Décathlon propose aussi des modèles de snowboard qui peuvent
convenir aux cyclistes urbains l’hiver…


» Si le port du casque sur route est devenu une banalité , il n’en est pas de même en ville. »
Et pourtant les risques sont tout aussi importants voir plus en ville, avec les bordures de trottoirs, les portières de voitures qui s’ouvrent à l’improviste, les voitures qui serrent de près au risque d’accrocher le cycliste; et même si la vitesse de déplacement est plus réduite en ville, il est prouvé que les chutes à allure réduite sont souvent plus traumatisantes car on tombe plus lourdement. Donc même en ville , portons le casque ( qui n’est pas si encombrant que ça, on peut très bien l’emmener avec soi); c’est notre seule protection!
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Porter le casque à vélo pour un cycliste, c’est comme savoir nager pour un marin : ça ne fait que prolonger l’agonie !
T’es pas tué sur le coup, mais tu restes handicapé à vie
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