le musicalocipède de Jean-Claude Welche.
Pas de risques inutiles, Météo France a ouvert tout grand son parapluie.
Privés de la fête de la musique, les mélomanes ont de quoi être déçus.
Oui, les riverains ont pu se sentir soulagés à l’annonce de l’annulation des festivités au nom du fameux principe de précaution qui règle dorénavant toutes nos activités humaines.
Donc, pas d’infra-sons hier soir pour vous faire trembler la paillasse.
L’orage?
Oui, il a bien eu lieu ici sur le coup de 18 heures; mais il ne s’est pas attardé sur la ville.
A présent, l’heure est aux bilans.
Les musiciens patentés auront perdu leurs cachets, les cafetiers n’auront pas vendu leurs limonades…et les municipalités n’auront plus qu’à payer le dédit et le démontage des podiums et autre sonorisations installés à grands frais.
C’est pas grave: c’est le cochon de contribuable qui paie.

Bonjour Velomaxou, je trouve l’analyse facile, voire simpliste. En cas d’incidents lors d’un grand rassemblement, les acteurs culturels suivis par les médias auraient mis en avant le manque de responsabilité des pouvoirs publics. Je pense vraiment qu’il vaut mieux annuler une manifestation et passer pour craintif que ne pas avoir le courage d’annuler et d’en payer les dégats de toute façon.
A chacun son métier.
Les leçons a posteriori apparaissent toujours plus évidentes.
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Veinard !
Moi, j’ai du m’endormir avec les boules Q . . . . !
après être rentré d’un village voisin où on fêtait la musique avec des mélodies chantées en non avec des décibels électriques
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Bonjour,
Vélomaxou, je vous propose d’aller expliquer cela aux familles
des victimes du concert donné le 6 juillet 2001 au parc de pourtalès
à STRASBOURG…
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Vous vous placez dans l’émotionnel, soit!
Mais statistiquement, Pourtalès compte très peu dans la réitération du phénomène.
On ne va ps refaire l’histoire: Pourtalès était surtout la conséquence de l’incurie de la ville de Strasbourg dans les gestion de son espace forestier.
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