L’Alsace, son terroir, ses traditions, son vignoble, sa gastronomie, ses paysages typiques, son architecture, son dialecte.
On ne manque pas de qualificatifs pour décrire la région que l’on aime.
Celle où l’on vit.
Seulement, il y a un hic. La pollution de l’air.
Aujourd’hui 6 mars 2013, le pic de pollution aux micro-particules atteint un nouveau sommet avec le niveau 9 à Colmar et à Mulhouse.
Non, on ne la sent pas, on ne la voit pas.
La pollution est là, invisible et inodore.
On la respire pourtant.
Quand les pouvoirs publics vont-ils prendre des mesures coercitives?
En obligeant, par exemple, à réduire le trafic routier? et réduire la vitesse?
velomaxou 
Tu le regretteras, ton bon air pur d’Alsace, quand Fessenheim vous aura pété à la g . . . . . !
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