Je vais moins souvent vers le Sundgau que par le passé.
La flemme de devoir contourner Mulhouse.
Quand j’étais encore en club, on y passait à toute allure sans s’arrêter, surtout dans les bosses où il fallait en découdre, sinon on était vite largué.
Quel dommage!
A présent, j’arpente les rues adjacentes et je prends mon temps.
J’ai gagné en sérénité ce que j’ai perdu en vélocité.
Le Sundgau révèle des paysages de collines, de belles perspectives, des horizons lointains et ces fameuses maisons traditionnelles aux couleurs flamboyantes lorsqu’elles sont rénovées.

Quand j’étais encore en club, on y passait à toute allure sans s’arrêter, surtout dans les bosses où il fallait en découdre, sinon on était vite largué. Voilà bien le probleme des clubs. Ils roulent en cyclosportif et non en cyclotourisme.
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je suis tout a fait d’accord avec vous !!on arrivera a rouler en individuel !
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