Où sont les clés pour sortir de l’Europe? au plus vite?
C’est la question que se posent de nombreux Français.
Les prochaines élections européennes auront lieu le 25 mai 2014 en France.
Le jour de la fête des mères.
Joseph Daull, notre germanophile qui va quitter l’hémicycle européen après 15 ans de mandat, a trouvé comment convaincre notre jeunesse de l’utilité de l’Europe, « Et puis je leur dis qu’à leur âge, à 18 ans, quand je voulais aller à Kehl », ville allemande située en face de Strasbourg, « pour voir les films pornos qui étaient interdits en France, il fallait parfois deux heures et demie pour passer la douane! On arrivait au cinéma et le film était terminé! »
C’est un peu court pour une Europe qui a réduit au chômage et à la pauvreté des millions de gens.
Il est très difficile pour un citoyen « de base » de se faire un avis favorable sur une Europe qui au fil du temps n’a cessé d’afficher sa supra-nationalité contre la souveraineté des peuples.
En France, c’est un parti d’exclusion europhobe comme le FN qui semble en tête des intentions de vote.
C’est dire si l’image de l’Europe est dégradée de ce coté ci du Rhin.
En cause une Europe éloignée des préoccupations citoyennes qui génèrent énormément de dégâts en instaurant le dumping social, la libre concurrence des biens et des services, en marchandisant la culture et qui dessaisit les peuples de leurs droits.
Avant même que les élections se déroulent, on peut déjà imaginer qu’elles seront marquées par une abstention massive.
L’Euro si pratique pour aller boire un pot chez les voisins peine à convaincre dans les chaumières et les tenants de la sortie de l’Euro se font entendre de plus en plus nombreux.
Mais il y a pire dans cette défiance: il y a ceux qui veulent carrément quitter l’Union Européenne et ne plus en entendre parler.
Pourtant la campagne prend forme, malgré tout, dans l’indifférence générale.
Les candidats commencent à apparaître dans les régions, souvent de seconde main ou en manque de strapontin politique, comme madame Nadine Morano ou monsieur Edouard Martin ou monsieur Florian Philippot…Une fois élus, on n’entendra plus parler d’eux.(voir les listes)
Il est vrai qu’il n’y a rien à attendre de cette Europe là et de ses députés: ce sont des commissaires non élus qui dirigent les affaires de l’Europe.
Le mal est tellement profond en France que très rares sont ceux qui trouvent encore une vertu à l’Europe.
Dès lors, la seule question qui reste posée est de savoir où trouver les clés pour quitter au plus vite cette Europe du libéralisme débridé dans laquelle nous sommes enfermés.
