Pourriez-vous me prêter deux neurones?
Je vous les rendrai ce soir.
L’heure du déballage des cadeaux de Noël approche et le mal de tête va commencer.
Comment se dépêtrer de cet incontournable charabia contenu dans les boites de jouets informatiques en tous genres?
Certes, les possesseurs de merdouilles informatiques à longueur d’année vont se jouer des notices sans se prendre la tête. Lomoberet en serait rouge de honte…
Cette année, c’est des trucs qui volent, parait-il…
La poupée volante, une sorte de Barbie animée avec ses grandes gambettes affriolantes et pour les plus grands, ce sera le drone.
Un machin capable d’aller survoler la centrale de Fessenheim rien que pour faire chier la maréchaussée.
Je ne cherche pas à faire diversion, mais je prie le Père Noël qu’il ne m’apporte pas un machin pour informaticien supérieur.
J’ai une alliée infaillible: ma petite fille. Elle est orfèvre pour faire parler, même sans lire, tous ces engins remplis d’octets neuronaux. Y compris sous la torture.
Je pourrai donc vous rendre vos deux neurones ce soir même pas abimés.
