Eclairer les pistes urbaines dès lors qu’elles sont isolées est une nécessité.
Tout simplement pour y assurer la sécurité des usagers.
Contrairement aux voitures, les vélos ne disposent d’une puissance suffisante pour se passer d’éclairage public.
Cette évidence ne saute pas aux yeux de tout le monde.
A commencer par les Collectivités.
Ainsi, entre le département du Haut-Rhin et l’agglomération mulhousienne, chacun se renvoie la balle, ce n’est pas moi, c’est l’autre.
Si le département gère les routes, c’est l’agglomération qui est en charge des pistes.
On n’en sortira pas! En voici un nouveau témoignage avec cette lettre du Conseil Général à l’association CADRes de Mulhouse.
velomaxou 
C’est une blague? Je veux bien que ça puisse faciliter la vie mais de là à dire que c’est une nécessité… Je vois là plutôt un argument visant à justifier au mieux un éclairage inadapté du cycliste au pire le ninja biking… Les éclairages actuels (à piles ou dynamo) permettent largement de rouler de nuit sans soucis et ce pour un budget très raisonnable.
Je trouve qu’il y a là un transfert de responsabilité entre le cycliste pas (assez) bien équipé, qui voudrait rouler « comme de jour » sans prendre en compte les conditions extérieures et la collectivité accusée un peu vite de mise en danger d’autrui…
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C’est moins simple qu’il n’y parait. Ici ce sont les femmes qui se rendent au travail qui ont peur de se faire agresser dans les espaces d’inter-cités
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