Pris dans la spirale de l’information, il nous est impossible de sortir indemne de cet imbroglio des taxis opposés à la société Uber.
Je n’ai pas le souvenir du dernier taxi pris.
Mais j’en garde pourtant une image négative de ceux pris à la gare de l’Est.
Trop de bagages? allez voir ailleurs!
Vous êtes trois? pas possible, je ne prends personne devant.
Pas de chèque! pas de carte bleue!
Le compteur? oui il tourne, même à l’arrêt.
Il tourne même très vite, surtout si vous êtes pris dans un embouteillage.
Ce système de vases communicants entre le porte-feuille du client et le compteur est dévastateur pour les taxis: plus le service est mauvais, plus vous payez cher!
Connaissez-vous beaucoup de cas analogues de services bâtis sur le mode la cherté d’un service dégradé?
Non, le taxi et Uber qui reposent tous deux sur la voiture en ville ne sont pas des métiers d’avenir.
