
Thann, c’est ma ville.
Il y est question d’aménager des emplacements réservés aux vélos.
Ce n’est pas moi qui vais m’en plaindre.

Une démarche comme celle là mérite d’être encouragée.
Sept ou huit endroits sont déjà recensés au centre.
De quoi redonner du souffle au commerce local.
Le plus serait des endroits abrités pour les jours de pluie, mais ne soyons pas trop gourmands!
Il reste à examiner les quartiers résidentiels sud-ouest de la ville….
Une petite délégation municipale et des citoyens-cyclistes ont donc sillonné les rues de la ville pour choisir les bons emplacements.
Des vrais ancrages permettant de fixer solidement les vélos, faciles d’accès et bien en évidence, c’est la clé du succès.

Il reste à mettre en place, outre les poteaux, une signalétique de repérage.
Quelques places de stationnement voitures vont être réquisitionnées pour la circonstance.
Je rêve!…

Pour le DSC, d’après la photo la rue n’a pas l’air large : que fait-on si on se retrouve nez à nez avec une voiture ?
J’aimeJ’aime
Si faut la faire, c’est bien plus large que les ruelles de Rouffach et ça oblige les voitures à ralentir, c’est une technique éprouvée par l’Esuipement qui réduit partout lés chaussées en agglomération pour réduire la vitesses
J’aimeJ’aime
Je ne pense pas que ce soit une bonne chose d’utiliser le cycliste (et donc mettre en jeu son intégrité physique) comme moyen de lutte contre la vitesse.
S’il n’y a pas la place on ne fait pas ou alors on supprime les trottoirs et on met tout ça en zone de rencontre à 20km/h ou zone piétonne; évidemment ça coûte beaucoup plus cher…
Je suis contre cette mode du « recalibrage » des chaussées (qu’en des termes galants ces choses là sont dites…) car elles incitent l’automobiliste à raser le cycliste pour le doubler (évidemment il ne va pas rester derrière car il reste de tomber devant son capot et puis il ne va pas assez vite et lui fait perdre du temps…
J’aimeJ’aime