
C’est un record personnel. Avec au piano Michel Petrucciani.
Je n’ai rien d’autre à faire que courir et inventer mon parcours au fur et à mesure de l’avancée. Je pars sans objectif défini sur une base de six ou sept kilomètres et chemin faisant, j’allonge pour grignoter une distance supplémentaire.

J’ai l’œil sur le cardio. Nulle souffrance. Si le turbo s’arrête, je m’écrabouille par terre, je sais.
