COP 28, les précurseurs


La COP28 s’ouvre à… Dubaï!

Pour moi, c’est l’hospice qui se fout de la charité. Comment imaginer qu’il n’y a aura plus d’énergies fossiles à partir de 2030? et que par conséquent tout le monde roulera à l’électrique? et se chauffera avec des pompes à chaleur?

Les préoccupations du monde sont loin de se focaliser sur les énergies. Au contraire. Les aigreurs, les rancœurs, les haines ancestrales, la question du partage des richesses et la démographie galopante des plus pauvres s’étalent chaque jour sur la planète.

L’Union Européenne (27 Etats) reste sourde et aveugle alors qu’elle pèse de moins en moins dans le concert des nations.

10 réflexions sur « COP 28, les précurseurs »

    1. Ce que je dis c’est que l’Europe se fourvoie en imaginant remplacer toutes les voitures thermiques par de l’électrique et supprimer toutes les chaudières fioul et gaz. Quel est le continent capable de tenir de pareilles inepties? Allez demander aux Chinois, aux Américains, ou aux Russes! Nous sommes en train de chausser de semelles de plomb. Pour parvenir à réduire notre empreinte carbone, il faudrait déjà apprendre à nos semblables à se comporter vertueusement.

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      1. Votre texte me donnait juste l’impression que vous découvriez comment fonctionne le monde, avec l’hypocrisie comme valeur cardinale…

        Pour le reste, je n’aurai jamais de mots assez durs envers l’Europe que pour ma part je n’ai jamais voulue et que je considère comme le pire ennemi de mon pays. Chaque jour qui passe me fait réaliser que l’Allemagne n’a pas perdu la guerre en 1945, elle l’a gagnée quelques décennies plus tard.
        Quant à l’empreinte carbone, je pense que la réduire ou pas, voire même la supprimer (ce qui est évidemment impossible) ne changera strictement rien à rien tant tout cela est anecdotique.

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  1. Et curieusement, on ne parle plus de l’épuisement des gisements pétroliers dont on nous menaçait il y a quelques années conduisant à une pénurie de pétrole; et depuis, la consommation n’a fait qu’augmenter…

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    1. Eh oui ! On n’a jamais consommé autant de pétrole, il n’y a jamais eu autant d’avions volant dans tous les sens, d’aussi grosses bagnoles à raison de trois par famille et, pourtant, dans les années 80 d’éminents « spécialistes » nous disaient que la dernière goutte de pétrole serait puisée quinze ans plus tard.
      Bien que les spécialistes se soient toujours trompés sur tout, on est pourtant prié de continuer à les subir au quotidien… Covid, réchauffement, patati et patata.

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    2. Ce n’est pas parce que l’on en parle plus qu’ils ne s’épuisent pas.
      La baisse de production du pétrole conventionnel est compensée par le pétrole non conventionnel (sables bitumineux et autres saloperies).

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  2. Oui, c’est vrai, entretemps on a trouvé d’autres saloperies (extraction de sables bitumineux (USA, …), …) pour économiser les gisements de pétrole (ou plutôt pour ne plus dépendre , ou moins, des pays producteurs historiques).

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