#beatyesterday #garmin
Je ne vais pas dire que c’est facile pour moi. Surtout les deux derniers kilomètres où je vais puiser profond dans les réserves.

Mon allure et les multiples arrêts

Et le cardio, ouaaah! 143 de moyenne, ça passe encore.

#beatyesterday #garmin
Je ne vais pas dire que c’est facile pour moi. Surtout les deux derniers kilomètres où je vais puiser profond dans les réserves.

Mon allure et les multiples arrêts

Et le cardio, ouaaah! 143 de moyenne, ça passe encore.

Qui ne se retourne pas sur son année écoulée!
A vélo, mieux vaut s’arrêter et faire une pause avant de se retourner, on évitera de se prendre une bûche…de Noël.
Je n’aime pas trop mettre ma bobine à la Une car je ne suis pas une star. Je suis quelqu’un d’ordinaire. Lorsqu’on a délibérément franchi le cap du septuagénaire, force est de devoir mesurer l’ampleur du chemin parcouru. C’est à la fois une fierté et une modestie car le sort nous a préservé jusque là, là où d’autres ont déjà trébuché sur un destin qu’ils n’ont pas souhaité.
Bien sûr, j’ai conscience de ce confort que beaucoup n’ont pas, celui d’une aisance relative à pouvoir me maintenir en forme, à pouvoir voyager sans trop affecter la planète, à pouvoir communiquer, à pouvoir lire, à pouvoir peindre et à garder cette farouche volonté critique vis à vis d’un monde aux enjeux et lendemains incertains.
Et je sais que, demain, notre destin peut subitement basculer.
Chaque mois de ce premier semestre 2023 est pourvu d’un lien (un clic gauche sur le mulot suffit). Il permet d’accéder à l’ensemble de mes billets détaillés.
Ce mois de janvier a été partagé entre l’Alsace et le Languedoc pour des raisons familiales. J’ai donc profité en partie du climat méditerranéen.
Quelques cols (au moins deux) à VTT dans le Gard
Je me suis senti revivre un vieux fond d’anarcho-syndicaliste. Qu’on puisse presser le citron des travailleurs au profit du grand capital me reste toujours aussi insupportable. Aujourd’hui les femmes sont en tête des cortèges.