Citroën communication
A t-on le droit d’être contre la compétition automobile comme
d’autres sont contre la tauromachie?
C’est la question qui est posée.
Si la voiture est un fait de société incontournable en France
depuis que Pompidou a décrété que les Français aiment la
bagnole, il faut bien constater qu’elle est aussi à l’origine
de la plupart de nos maux.
Pollutions diverses, gaspillage éhontés de nos ressources,
développement du culte de la vitesse avec son corrolaire
indiscutable: accidents, pertes de vies humaines et maladies liées
aux pollutions urbaines et à la sédentarité.
Loin du culte de la compétition cycliste avec ses dérives
mercantiles et de la perversion du dopage sportif, la compétition
automobile est bien plus pernicieuse puisqu’elle sanctuarise un
mythe, celui de la toute puissance automobile.
Un mythe dans lequel s’engouffre la plupart de nos hommes
politiques adeptes du double langage (comme avec le Grenelle de
l’Environnement) ou encore nos industriels avec le concept de
développement durable dont le modèle est loin d’être établi.
Plus prosaïquement, il se trouve qu’un quarteron d’imbéciles
vulgaires, analphabètes pour la plupart, « pro-bagnoles » par
mimétisme, croient trouver ici sur ce blog une tribune pour
déverser leur fiel à l’égard de mes positions de citoyen libre.
Ils vont être déçus puisque les commentaires à mes articles sont
dorénavant fermés.


