C’est l’influx nerveux le plus important pour mettre le nez
dehors abrité derrière son buff, cette burqa du cycliste.
Oui, il faisait froid!
Alors, il fallait se convaincre du contraire en scrutant bien la
route pour ne pas tomber bêtement sur une plaque de verglas.
Et puis, le beau paysage blanc me donnait du baume au coeur.
Après Soultzmatt, il m’a fallu encore un peu de courage pour
monter jusqu’au Bannstein en m’occupant l’esprit.
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Images Vélomaxou

