Je vais moins souvent vers le Sundgau que par le passé.
La flemme de devoir contourner Mulhouse.
Quand j’étais encore en club, on y passait à toute allure sans s’arrêter, surtout dans les bosses où il fallait en découdre, sinon on était vite largué.
Je vais moins souvent vers le Sundgau que par le passé.
La flemme de devoir contourner Mulhouse.
Quand j’étais encore en club, on y passait à toute allure sans s’arrêter, surtout dans les bosses où il fallait en découdre, sinon on était vite largué.