Un automobiliste non sans humour me disait que selon lui, si on laisse un mètre cinquante aux cyclistes en les doublant, c’est pour qu’ils puissent tomber confortablement. Sans risquer de se faire écraser ensuite!
C’est dire le peu d’humanité, de disposition à la compréhension, qu’on accorde à ces pégreleux de cyclistes qui osent encore s’aventurer sur nos vicinales encombrées d’Alsace. Continuer à lire … « Un mètre 50 pour tomber »

