Rétention forcée

Blog de velomaxou :Vélomaxou, le blog d'un cyclo mulhousien, Rétention forcée

C’est un sujet délicat que Vélomaxou aborde: celui de la
rétention urinaire imposée à nos amies cyclotes.

Quand nos organisations cyclistes comprendront-elles que ce
genre d’investissement est utile pour celles (et ceux) qui nous
accompagnent au cours de nos randonnées cyclistes et qui au détour
d’un contrôle se trouvent fort dépourvus de n’en point trouver?

On pourrait même ajouter qu’une cohorte de « garçons » se
soulageant en coeur aux approches des villages n’est pas la
meilleure manière de démontrer que nous sommes des
gentlemens pour le landerneau.

En attendant les cols vosgiens…

En attendant les cols vosgiens, les randonnées de printemps de
la Concorde de l’ACRM nous entraînaient
aujourd’hui vers les collines sous-vosgiennes.


Il fallait pour cela rejoindre d’abord Schweighouse et aborder
le vent de sud-ouest léger…


…puis alors que le massif se dessinait derrière Aspach le
Haut…


…on abordait Michelbach…


…et ses filets de protection à batraciens…


…avant de monter jusqu’au carrefour de Guewenheim…


…un raidillon insignifiant vers Roderen…


…puis la montée en direction de Bourbach le Haut…


…une belle descente avec vue magnifique vers Belfort…



…puis remonter à Rammersmatt…


…avant de rejoindre Thann où nous attendait un accueil
réconfortant…


..Uffoltz et sa stabulation…


…Wattwiller et son usine d’embouteillage…


…sur les bords de la friche Marie-Louise à
Staffelfelden…


…entrée de Pulversheim en vue…

Beau parcours avec quelques ensoleillées et 9°C.

A l’arrière des Dauphine…

A l’arrière des Dauphine, qu’y avait-il?

Des « Joséphine »?

On ne sait pas. Peut-être des « Martine », des « Charlotte » ou des
« Isabelle »…qui sait?

La nuit, il disait mentir puis s’en lavait les mains au petit
matin.

Sa petite entreprise ne connaissait pas la crise.

Après un saut à l’élastique dans le Vercors, il avait dit « un
jour, je parlerai moins, jusqu’au jour où je ne parlerai plus ».

Il ne parle plus et la tristesse nous envahit.