On aimerait bien y croire: le vélo couché devrait être
l’innovation du siècle en matière de posture cycliste.
Sur le plan de l’efficacité musculaire, sur le plan du
confort.
Hélas, il n’en est rien!
Et il semble même que la formule du vélo couché ait fait long
feu.
Il suffit de regarder la photo pour comprendre.
Sous une ligne épurée et séduisante, on voit nettement qu’il y a
« comme un défaut » (comme disait Fernand Raynaud).
C’est la transmission de la puissance qui ne va pas.
On pourrait faire l’analogie avec les voitures à traction
arrière: moteur devant et roues motrices derrière.
Pour ce que ce vélo reprenne de l’intérêt, il faudrait lui
adjoindre une traction avant…et une roue directrice arrière.
Bref, le monde à l’envers!
On n’est pas encore couchés avec cette histoire à dormir
debout!
velomaxou 
Le concept du vélo couché n’est pas nouveau. Certe, la transmission n’est pas aussi directe que sur un vélo droit, mais cela n’empêche pas le vélo d’avancer. Un certain nombre de records de vitesses sont détenus par des vélos couchés. Il existe par ailleurs de nombreuses conbinaisons (traction directe et indirecte, propulsion).
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Visiblement, monsieur est mal renseigné
Ca roule, et plutot bien !
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