Une piste cyclable dans le cerveau?….
Cette fois, c’est sûr, Maxou a bien un petit vélo dans la
tête!
Oser s’attaquer à de telles lectures à 22 heures, c’est
l’insomnie assurée!
Selon « Vélo, potager et cerveau », notre cerveau
comporte « une autoroute avec un jalonnement
prioritaire, qui est la voie naturelle, celle de l’action sans
réflexion sous impulsion aversive (légère haine a priori), et qu’en
alternative à cela il n’y a qu’une petite piste cyclable mal
indiquée pour offrir un cheminement alternatif. »
Tout cela pour expliquer les phénomènes « d’imitation rivalitaire qui gisent dans notre
cerveau » et qui provoquent tant d’agitation et d’échecs
parmi notre jeunesse.En cause, les carences de notre système
éducatif…
Dans ce registre là, celui de « l’agitation » de nos jeunes, tout
le monde ne peut pas être d’accord avec les explications avancées
par Vélo, potager et cerveau.
Il en serait ainsi des images à caractère sexuel dans les arrêts
de bus qui seraient libératrices de testostérone chez nos jeunes
mâles et facteur d’agressivité excessive…
En revanche, on est moins dubitatif en lisant qu’une demi-heure de vélo (Vélotaf) par jour
ferait plus pour endiguer le déficit de la sécurité sociale que
toutes les campagnes de prévention réunies.
Une économie chiffrée à 15 milliards d’euros par Inddigo-Intermodal.
Problème: il faudrait que les français parcourent au moins 300
km de vélo par an…au lieu de 75!
300km, cela semble si dérisoire aux « drogués de vélos » que nous
sommes qu’on se demande pourquoi on n’y arrive pas…





