Cyclotourisme de mars 2012

Cyclotourisme, la revue mensuelle de la FFCT  vient de paraître.

On a toujours droit à des belles couvertures sur papier glacé qui donnent envie d’en savoir plus.

Ce mois ci, les vététistes ont les honneurs de la une avec un beau chemin muletier casse-patte. Preuve que la FFCT ne veut pas lâcher la pratique du VTT à la FFC qui lui dispute la première place.

Beaucoup de sujets à découvrir…

• un article sur les freins à patins et à disques qui fait le tour de la question sans trop qu’il soit besoin de se prendre la tête.

• Des cyclotouristes qui découvrent qu’il existe aussi des cyclos urbains et qui ne comprennent pas l’intérêt des double sens cyclables (DSC) démontrant que le cyclotouriste ne comprend rien à la problèmatique de vélo en ville et à son combat.

• Flers qui rappelle ses participants de la semaine fédérale 2011 pour un deuxième tour. C’est pour se faire pardonner du mauvais temps. Comme pour les défauts sur les voitures, on les rappelle à l’usine…

• Les femmes à l’honneur: ah! les femmes…La fédé se met en quatre pour les femmes. Que ne ferait-on pas pour se donner bonne conscience?

Des cours de préparation à la sécurité pour « Toutes à Paris », une cyclote -médecin qui prône l’endurance de la femme…

• Le tandem à l’honneur, séquence émotion avec les « conj’pé » les congés payés de 36, les idées reçues revisitées comme « m’sieur, la dame derrière ne pédale pas » (l’amicale cyclo-tandemiste a son site)
• Et l’agenda: pas moins de 11 pages de brevets et de randonnées pour cet été. Chacun devrait trouver chaussure à son pied (ou montée à sa main?)

1. le randonneur du Jura
2. le randonneur des Aravis
3. le randonneur des Vosges
4. le randonneur du Morvan
5. le randonneur des Monts du Forez
6. les cimes françaises à Luchon

…et pour les vététistes « les Belles Vertes » dans l’Aveyron, dans la Drôme, en Isère, la Licorne dans le Bas-Rhin, la Maxi-Verte de Sarrebourg,…

Michel Savarin le rédac en chef explique qu’avec le renouvellement du comité fédéral, l’équipe bénévole de la revue va voir de nouvelles têtes arriver et la revue marquer un tournant inévitable et nécessaire ves d’autres formes de diffusion, sans négliger la version papier…

On sent bien, sans le dire, que Michel Savarin pense à la revue numérique comme la plupart des médias qui y sont déjà passés.

Une perspective qui ne réjouira pas les inconditionnels du papier.