Lionel Arnould a visité l’Amérique du Nord en 2010 avec son vélo.
Son odyssée est racontée sur son blog ici.
Pour voyager en avion, il a utilisé une méthode simple, du ruban adhésif.
Bien peu seront prêts à faire de même avec un vélo hypercarboné.
Aux cotés des inconditionnels du tout vélo, il y a ceux qui font transporter leur bécane sur leur lieu de villégiature.
En voiture, en train, en avion.
Transporter son vélo en voiture est le cas le plus commun.
Voyage en voiture
Les spécialistes réservent carrément une place dans la voiture où le vélo sera bien au chaud, protégé des intempéries…et des convoitises lorsque vous vous absentez de votre véhicule. Inconvénient: la place prise par le vélo.
On réduira l’emprise du vélo au besoin en démontant les roues et on pourra aussi l’enfermer dans une housse de transport.
L’autre solution, c’est le porte vélo.
Sur le toit, la prise au vent est totale et votre consommation s’en ressentira.
Sans parler des risques d’arrachement si par malheur vous passez par mégarde sous une barre de parking!
Reste le porte vélo à l’arrière.
Il en existe différents modèles; le plus performant et aussi le plus cher est le modèle Thule qui nécessite la pose d’une boule d’attelage.
Pourvu de feux déportés, de barres antivol, d’une poignée de basculement pour accéder au coffre.
Voyage en train
Les transports ferroviaires sont assez restrictifs pour nos vélos. Surtout en France.
Mieux vaut se renseigner avant de s’engager. Les places pour vélo sont rares dans les trains lorsqu’elles existent. Surtout dans les TGV.
Les cyclistes urbains préfèrent parfois voyager en train avec un vélo pliant qui s’apparente à un bagage à main.
Voyage en avion
C’est possible, mais votre vélo devra être bien emballé pour ne pas souffrir du voyage.
Le mieux est encore de disposer d’une valise rigide; le prix d’un tel bagage est salé. Cette solution sera valable dès lors que votre vélo en vaut le prix.
C’est à vous de voir. L’autre solution, c’est de louer un vélo sur place.
La compagnie à bas-coût EasyJet a fait l’objet d’un article de la revue Citycle très documenté.
velomaxou 