
Appelons-le Claude.
Claude m’en parlait hier.
Sorti de l’hôpital avec une restriction sportive, il peine à reprendre corps avec son club.
On part ensemble, on rentre tout seul
Dans les côtes, il faut l’attendre.
Ce que Claude a découvert depuis qu’il est convalescent, c’est que faire attendre les autres, ça les agace.
Les autres, justement.
Alors la mort dans l’âme, il va décrocher.
Pour rouler seul.
Se retrancher derrière une solution individuelle, c’est l’alternative quand on voit qu’on n’est « plus dans le coup ».
Oui, le coup est rude, lorsqu’un jour on voit remonter de l’arrière tout le reste du peloton.
Ceux justement sur qui l’on pouvait compter afin de pouvoir faire route ensemble et garder encore un reste de fierté. Continuer à lire … « Clubs cyclos, à la recherche du second souffle »

