C’est mon truc de mise en train, le matin.
Je saute sur mon biclou et je me coltine un kilomètre.
Histoire de humer le vent, de me mêler à l’effervescence de la population active qui part au volant.
Le chien de son maître attend devant la vitrine du boulanger.
En même temps, il garde le vélo de maxou. Continuer à lire … « De tout, de rien et des racines »
