C’est devenu mon joker.
Quand le temps est maussade ou incertain, je choisis le VTT.
Ce que d’autres nomment un temps de chien, moi je le nomme un temps de VTT.
On a le droit de rentrer tout crotté si le temps se détériore et on n’est pas obligé d’aller loin de chez soi.
On est donc plus vite rentré à la maison.
Est-ce à dire que le VTT est devenu la bécane par défaut?
Un peu.
J’ai vaguement compris qu’hier une des randonnées traditionnelles de printemps a réuni à Bourtzwiller…7 cyclistes, là où elle en réunit au moins une centaine les années passées.
De braves grognards assurément, vu les cordes qui humidifiaient la campagne.
De quoi vous dégoutter à jamais d’organiser des circuits, de les flécher et de faire le pied de grue sous un auvent de ravito à attendre le client.
Il est vrai que les organisateurs avaient eu la mauvaise idée de programmer la sortie non pas l’après-midi mais le samedi matin.
Du jamais vu jusqu’alors.
