Atmosphère « narfiga » dira Jean.
Le « 100 km de Mulhouse » a été une nouvelle fois organisé de main de maître par le Club de Cyclotourisme de Sausheim.
C’est un truc de malade pratiqués par des malades du vélo.
Si le club met à disposition le parcours dans la campagne alsacienne ainsi qu’une infrastructure d’accueil et de ravitaillement, les clubs viennent ici surtout pour « s’éclater » et montrer leur savoir-faire.
Cette année encore, nous n’avons pas été déçus puisque l’hétérogénéité des participants a poussé la moyenne vers le haut.
Alors comme j’en suis aujourd’hui, je ne dirai rien.
Il faut juste tenir. Serrer le guidon, presser fort les pédales, jouer du dérailleur et surveiller l’autre devant.
Tenir, le temps que l’exploit se termine.
Faut-il louer une épreuve où rien n’est à gagner, ni chronomètre en cause, et qui suscite pourtant les confrontations entre clubs?
Non!
Ce vélo là ressemble à celui de toujours dans les clubs.
Des groupes se forment et on attaque les bosses… dans la douleur et en silence.
A peine a t-on le temps de vociférer contre soi-même: bon, on arrête les conneries! et aussitôt on repart de plus belle.
Le groupe parti derrière n’a qu’un challenge: rattraper celui qui est parti devant.
La campagne défile, elle est doit être belle la campagne, mais surveiller la roue devant est vital.
Quelques embardées brutales dans des carrefours impromptus, des chapelets d’échappés qu’on a en ligne de mire, un regard derrière dans les hauts de côte …un exercice hyper-physique qui ne m’amuse plus beaucoup et dont il faut hautement se méfier sur le plan de la sécurité cardiaque et de la route.
Je rentre ventre à terre dans la Hardt derrière trois compétiteurs dont je ne verrai que le dos
Personne ne me l’a pourtant commandé. Mais promis, je ne ferai pas ça tous les jours.
– Vous ne seriez pas Vélomaxou?
– Hélas oui!
Les rencontres sont parfois éphémères quand on se déplace à cette vitesse.
La belle occasion, c’est aux « contrôles-ravitaillement » qu’on l’a, le temps d’y rencontrer les amis et de souffler un peu.
100km-700m- 25km/h

Avec mes 2 copains,on s’est engagés sur le 50 , et au ravito bien garni on s’est tous retrouvés pour un bout de chemin ensemble puis les « »narfiga » s’en vont !!! Nous on flemmarde un peu avant de retourner au cosec !! le soleil nous a accompagnés et on a passé un bel après -midi !!
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Tu parles de compét. ? … Certains se seraient trompés ? La Vosgienne, c’est demain !!
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Cela devait arriver ! Après avoir allégé son vélo de 500g (et le portefeuille d’un peu plus…) en le dotant d’un pédalier compact avec dérailleur électrique Shimano dernier cri, on s’envoie à près de 40km/h après 100km de vélo. Maxou va finir par être retenu dans une équipe du Tour de l’Avenir … des vieilles gloires bien évidemment. Ah jeunesse, quand tu nous tiens !…
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J’en connais d’autres capables de mieux encore…
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