
Bicycler, tout le monde sait faire. En principe. Parait-il que les enfants arrivent à l’adolescence sans savoir faire du vélo. Hallucinant de voir comment les bonnes habitudes se perdent! Donc bicycler, j’y arrive. Encore pour un temps, j’espère!… Mais par ce mauvais temps, faut s’faire violence plutôt que de choisir la sieste. On part donc sur de courtes distances avec le VTT; assez longues toutefois pour rentrer tout crotté. J’ai ce secret d’aller là où il ne faut pas: dans les chemins bien boueux.
Le GPS n’est là que pour m’assurer que j’ai un cap moyen vers l’ouest et je me lance dans d’improbables sentes jusqu’à ce que…je tombe sur cette fameuse voie ferrée qui me coupe dans mes élans. Je longe la voie le long du chemin de service…le TER me lance un pinpon…et j’aboutis à une grille bien cadenassée.
Mon compte est bon. Si la SNCF voulait se rendre compte du nombre de promeneurs qui empruntent ses voies, elle serait édifiée… Il suffit qu’elle installe une vidéosurveillance (peut-être l’est-elle déjà?) C’est un vrai problème que les pouvoirs publics devraient prendre en compte à la périphérie des agglomérations. On fait des passes souterraines sous les autoroutes, pourquoi pas sous les voies-ferrées? Je vais attendre la citation à comparaître… Je tangente Wittelsheim et je rentre par Seeboden
Devant Décathlon, j’ai conscience de ne pas rendre service aux acheteurs potentiels de VTT, vu que je suis repeint en tenue de camouflage avec ma bécane. Si c’est ça le VTT, mieux vaut s’acheter une raquette de tennis! Après le bicyclage, j’ai terminé mon blogage en racontant mon histoire du jour. Les jambes et la tête. Janvier se termine déjà. 535 km sans grand enthousiasme. Je vous salue bien bas. voir la trace
