Un an de vélo dans les rues de Rouen


Cycliste anxieux, s’abstenir!

Cette vidéo tournée dans les rues de Rouen montre combien la circulation à vélo en ville peut-être anxiogène.

Elle pourrait servir à nos édiles pour comprendre que les infrastructures vélo, combien même elles existent, ne sont pas suffisantes pour imposer le respect des autres usagers et protéger les cyclistes.

Évidemment tout est question d’appréciation.

Ce cycliste là est un pro qui sait déjouer les pièges de la circulation en ville.

Les pièges?…

Oui, d’abord l’indiscipline des automobilistes pour qui le cycliste est un usager de second plan, mais aussi des infractions caractérisées de la part d’usagers pour qui la ville est une jungle.

Manifestement, on voit que chacun à Rouen est livré à lui-même et que c’est le système D qui prévaut pourvu qu’on puisse se déplacer à bord d’une voiture.

Pour sûr, ceux qui envisagent de se mettre au vélo à Rouen vont hésiter.

Redonnons vie à nos villes avec des circulations apaisées.

Prenons nos vélos!

Aller à la source dans Normandie Actu

Je vous recommande la lecture des commentaires dans Normandie Actu qui montre un fossé entre les appréciations des usagers et l’assurance des automobilistes d’être dans leur bon droit en dépit des fautes multiples qu’ils commettent.

article en relation…

Dans Paris à vélo

4 réflexions sur « Un an de vélo dans les rues de Rouen »

  1. C’est sur que je n’irai JAMAIS faire de vélo à Rouen.
    Malheureusement ce sont des comportements que l’on retrouve aussi ici en Alsace.
    Moralité: ne vous fiez pas aux automobilistes et ouvrez l’oeil.

    J’aime

  2. J’imagine que c’est un peu partout pareil. Je n’ai pas regardé la vidéo en entier, mais ce que je constate quasiment à chaque fois, c’est que les conducteurs ne se rendent pas compte de la vitesse que peut prendre un vélo. Du coup, ils ne se pressent pas pour avancer ou s’aventurent alors qu’ils ne le devraient pas (d’où certains véhiculent devant accélérer pour éviter l’accident).
    En revanche, mauvais point pour le cycliste avec son feu clignotant, d’une part, et d’autre part pour le tutoiement. Pas le meilleur moyen d’accepter son erreur.

    J’aime

  3. je me rappelle une personne qui traversais Paris en vélo pour aller bosser. Il avait un marteau-pic (comme celui que l’on trouve pour les issues de secours) et bang un coup sur la tôle en cas de problème.
    Sur que l’automobiliste devait refaire sa tôlerie après ce trou !!
    Et peut-être ferait-il attention après ?

    J’aime

Laisser un commentaire