A quoi bon la raconter cette histoire puisqu’elle se renouvelle si fréquemment.
Regardez autour de vous, la campagne est pleine de randonneurs qui promènent leurs chiens.
Aujourd’hui encore, j’ai échappé à un molosse.
Sur la piste cyclable, deux piétons dont un avec des cannes anglaises et trois chiens en liberté.
Pas des petits, les chiens. Des grands chiens marrons.
J’approche doucement, je toussote…
Les personnes se détournent, attrapent les chiens avec difficulté, on se salue, je passe.
Vingt mètres plus loin, un des grands chiens me rattrape et accompagne mon mollet en rotation.
Il est tenté…les maitres appellent et le chien me laisse partir.
Ces quelques secondes sont pénibles à vivre car on hésite soit à s’arrêter soit à accélérer.
Si l’on s’arrête, on imagine devenir une proie plus facile, si l’on accélère on peut se gameller en zigzagant.
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Autre probleme (histoire vecue) Mémere à son chien sur le coté gauche de la voie verte. Son « bébé » sur le coté droit entre les deux une ficelle que la dame appelle une laisse. La ficelle est invicible et le vélo et so, conducteur se retrouve à terre.
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