La chute à vélo, c’est ce que redoutent le plus les cyclistes.
Même celui qui n’est pas forcément un coureur de compétition.
Certes elle sera plus ou moins grave selon les circonstances.
Sans gravité, plus de peur que de mal, avec douleurs, dermabrasions, avec fractures,…les chutes ont toutes des conséquences pour notre intégrité physique.
Les prévoir, les éviter est donc souvent préférable.
Causes de chutes fréquentes…
- La chute à l’arrêt
C’est la plus étonnante et souvent la moins grave.
Les cyclotouristes le savent: oublier de décaler sa chaussure du cale-pied en est souvent à l’origine.
On tombe latéralement et c’est le bras souvent qui amortit le choc. Si on n’a pas le temps de mettre son bras, c’est la tête qui arrive la plus vite au sol…
- Le toucher de roue
Le toucher de roue dans un peloton serré peut être dramatique. La roue avant prend une trajectoire courbe et le cycliste est projeté en avant brutalement entrainant éventuellement ceux qui suivent dans une cascade de chutes.
- La prise de rail ou de trottoir
Sur route, négocier des traversées de voies avec des pneus fins demande du flair, surtout si les rails sont glissants.
En ville prendre une entrée de trottoir de biais conduit aussi au même type de chute qu’avec des rails si l’angle est insuffisant; résultat: le vélo va tout droit et vous perdez l’équilibre en tombant lourdement latéralement avec des risques pour la tête, l’épaule et le col du fémur
- La glissade en virage
C’est le dérapage en survitesse dans un virage ou par perte d’adhérence sur des gravillons.
En principe, le vélo et le pilote glisse ensemble; dermabrasions à prévoir plus choc si la trajectoire rencontre un corps étranger…ou si vous tombez dans un précipice!
- La collision
La collision est tantôt prévisible tantôt imprévisible…comme celui de l’animal qui traverse.
Le non respect du Code de la Route est souvent à l’origine de la collision.
Non respect des distance réglementaires, des stop, des feux, des priorités sont le lot quotidien des accidents urbains.
Percuter une voiture de plein fouet, voire un piéton, vous assure souvent un vol plané avec des conséquences graves, voire funestes.
Plus spécifique au cycliste est l’accident de portière qui s’ouvre inopinément lors de votre passage.
Se manger une portière en ville, c’est la hantise du cycliste!
Pour en savoir davantage sur les chutes à vélo
Ben au moins je vois que je ne me trompe pas … la compère ne m’intéresse pas !
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La chute à vélo est particulièrement dommageable pour les cyclistes qui ne portent pas un béret de bonne qualité certifié NF et dont la tête heurte le sol.
Le choc subit par le cerveau laisse souvent des séquelles irrémédiables qui amènent à des comportements aberrants tels que :
– Confondre les places de stationnement des belles voitures avec des pistes cyclables,
– Prendre les sucettes géantes placées le long de la chaussée et aux carrefours pour des signes d’injonction envers les usagers de la chaussée
– Imaginer que les feux multicolores de toute les couleurs qui décorent les intersections permettent de se sentir en sécurité,
– Écrire des co . . . . ries sur le blog de Maxou.
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